A theme for the moon – Luigi Rubino (Prikosnovénie)
Luigi Rubino
A theme for the moon
Prikosnovénie
Présentation label:
Style : Piano, néoclassique, musique de film
Ref : Mickael Nyman, Yann Tiersen, Eric Satie, Ashram…
Sortie Avril 2009 – 12 Titres – 40’00
Découvrez le superbe premier album du pianiste d’Ashram. Imaginez un balai d’opéra en apesanteur, une boîte à musique ouverte d’où s’échappent de gracieuses ballerines dansant au milieu des étoiles. La lune Meliès pour décor et un tapis d’étoiles infinies s’enroulant autour d’elles. La nostalgie du violon, les notes cristallines et aériennes du piano, la grâce du violoncelle foudroient notre coeur d’émotions. Comme la bande originale d’un film en noir et blanc, cet album instrumental est un conte de fées évoquant les plus beaux et célestes paysages imaginables. Lunaire, apaisant, nostalgique, touchant… les mots manquent, le projecteur de cinéma entraîne les bobines, maintenant c’est à vous de rêver.
Biographie : Luigi Rubino a commencé le piano et l’orgue liturgique à l’âge de dix ans avec des professeurs italiens et étrangers. Il a joué dans les groupes Ashram, Corde Oblique, Argine, Trees… Il est passionné par la musique classique du XXe siècle (Debussy, Poulenc, Bach, Rachmaninov, Chopin, Wagner mais aussi Satie, Keith Jarrett, Arvo Part ou Morricone).
12 TITRES:
1- Last dance
2- Nostalgie
3- Fragments
4- Les larmes d’automne
5- Voice in the eyes
6- Every desire
7- Melancholic Lisbon
8- Before love
9- Glace of dust
10- Behind the clouds
11- D’Inverno
12- He is her
Notre avis:
Dès l’ouverture, Luigi Rubino nous promet un album mélancolique, troublant, aussi doux que cruel. Il nous promène comme une marionnette et tirent les ficelles de nos coeurs et de nos âmes. C’est beau, doux, touchant comme un adieu, un amour perdu, un matin qui s’éveille. Un album qui s’écoute à la lueur des bougies dans une plénitude extrême, allongé sur votre canapé ou le regard posé sur le spectacle de la pluie sur les pavés de cette route observée depuis la fenêtre de votre salon. Il fait si froid dehors. Ici, il fait si chaud. Et les notes du piano se succèdent, racontant mille histoires fabuleuses, souvent tristes, toujours belles. Et le violon s’ajoute, simple écho ou acteur prenant au fil des mélodies que caressent de temps à autre des voix sublimes… Un album entier et très réussi avec une petite préférence pour le morceau intitulé Les larmes d’automne…