C’est aux Corils du Morbihan qu’on doit de connaître si parfaitement les jours de la semaine. Sujets à une terrible malédiction, nos pauvres lutins sont condamnés à danser, danser et danser encore tout au long de la nuit en répétant le refrain d’une chanson amputée de ses derniers jours hebdomadaires. Le badaud qui a le malheur de croiser sur la lande ces petits danseurs se voit aussitôt entraîné dans leurs rondes jusqu’à ce qu’il complète leur ritournelle et les délivre de leur malheur.

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