2015…
Les débuts d’année sont toujours difficiles pour moi. Il y a comme un temps mort entre février et mars, une pause malgré soi, même si le boulot ne manque pas.
Comme un vide énergétique qui attend que la sève remonte, que les bourgeons éclosent et que j’enfile mes chaussures de randonnée pour m’enfoncer à nouveau dans ce paradis vert.
Un temps qui laisse derrière lui les doux plaisirs d’hiver, les cheminées crépitantes et les parfums de thé, de chocolat. Un temps d’impatience qui projette toutes ces sorties à venir, ces idées non encore germées…
Allez, plus que…