Étiquette : Jeunesse

  • La Petite Sorcière qui voulait être jolie – Casterman

    La Petite Sorcière qui voulait être jolie
    Auteurs :  Patrice Léo, Alex Sanders
    Date de parution : 18/03/2009
    Collection : Petite enfance
    Serie : Les Minimagics
    Editions Casterman
    Pages : 14
    Prix : 12,00 €

    Présentation éditeur:

    Une petite sorcière aime beaucoup un prince charmant. Seulement voilà : le prince trouve la sorcière trop vilaine pour s’intéresser à elle… Alors, pour conjurer ce manque d’attention, la petite sorcière part dans la forêt ramasser des plantes, des baies, des trucs et des machins : elle va préparer une potion magique qui la rendra jolie! De retour dans sa chaumière, la petite sorcière fait bouillir dans son chaudron ses étranges ingrédients et avale la potion, vite! Bientôt, le breuvage fait effet… mais, mais, que se passe-t-il?! Aïe, la potion est efficace, ça oui, mais la petite sorcière, quelle maladroite, s’est trompée dans la recette…

    Notre avis:

    C’est avec beaucoup de plaisir que les petits lecteurs tourneront les pages de cette histoire à faire rire de peur. Surtout que les pages cartonnées sont truffées de caches, de languettes à tirer, animant l’histoire de jolie façon. Une petite sorcière bien sympathique accompagnée d’un chat qui ne se prive pas d’éclater de rire lorsque la malheureuse se trompe dans sa peu ragoûtante potion magique…


  • Rencontre avec Arthur Ténor, l’auteur de L’Elfe au dragon (Seuil Jeunesse)

    Auteur jeunesse prolifique, Arthur Ténor aime à explorer des mondes fantastiques pour le plus grand plaisir des jeunes lecteurs. Pour la sortie du premier tome de L’elfe au dragon, aventure palpitante d’un jeune elfe et de son alter-ego dragon qui tentent de délivrer leurs amis, le Peuple féerique a échangé quelques propos avec l’auteur. Rencontre.

    Comme beaucoup d’histoires sorties dernièrement, on a l’impression que la  trilogie du Seigneur des Anneaux n’est pas très loin… Qu’est-ce qui vous a  décidé de vous inscrire dans cette voie? La vision des films ou l’engouement  actuel des lecteurs pour la fantasy ?
    J’ai été élevé au biberon Tolkien. Entre 18 et 28 ans, les 1 400 pages du Seigneur des Anneaux ont trôné sur ma table de nuit. Je peux même dire que j’ai appris à écrire avec ce livre de chevet. Mon tout premier roman était d’héroic fantasy. Quand j’ai commencé à publier en jeunesse (à partir de 1998) j’ai attendu d’être plus confirmé dans mon style et ma place d’auteur, car ce genre nous entraîne plutôt vers les gros volumes. Mon premier roman de fantasy a été publié chez Plon Jeunesse en 2006 (Voyage extraordinaire au royaume des 7 Tours). Depuis, on peut dire que je me lâche dans un univers qui m’est familier, bien que je ne sois pas un expert en littérature de fantasy.

    Elfe et dragon, deux créatures largement appréciées par les lecteurs de fantasy. Avoir opté pour un titre mettant en avant les deux mots, n’était-ce pas également un joli coup de marketing ?

    Bien sûr ! En vérité, cela tombe vraiment bien pour moi que la fantasy soit à la mode, puisque c’est le genre où, comme je l’explique précédemment, je me sens le plus en affinité. Cela dit, pour le côté  » marketing « , il faut se mettre à la place des auteurs… je veux dire français. Car il y a une telle domination des importations (notamment anglo-saxones), qu’il faut se battre pour être visible. Pour s’en convaincre, il suffit de regarder les tables et têtes de gondoles chez les libraires. On croirait qu’il n’y a en France que deux ou trois auteurs valables (en jeunesse).

    Vous faites de Kendhil un elfe pas comme les autres. Il est très proche des humains. Une façon de rendre votre héros identifiable pour vos lecteurs ?

    Pour ce coup, je ne l’ai pas fait exprès. L’idée de la série est venue ainsi :  » J’aime bien, et les lecteurs aiment bien, les elfes et les dragons.  » Tilt !  » Et si j’écrivais une série avec un elfe et un dragon ? l’un et l’autre présentant des caractéristiques et un caractère très particuliers.  » Je voulais qu’ils soient humains… en fait, plus qu’humains. L’elfe représente pour moi une créature d’un niveau de conscience, et donc de sagesse, supérieur. Konrad Lorenz disait :  » J’ai trouvé le chaînon manquant entre le singe et l’homme… c’est nous !  » Cette citation correspond bien à l’idée que je me fais de l’humanité. L’elfe représenterait ce que l’humain aurait de plus évolué, un modèle qu’il atteindra sans doute un jour (soyons optimistes, dans un millénaire). J’aurais beaucoup à dire sur le sujet. Peut-être qu’un jour j’écrirais un thèse sur l’humanité elfique.

    Vous êtes un habitué du roman jeunesse mais quelles différences faites-vous entre un roman jeunesse de fantasy et un roman adulte de fantasy ? L’âge du héros ? Plus d’actions et moins de descriptions ?

    Certes, il y a des différences visibles entre les lectorats. Je crois que les grands fans et spécialistes du genre trouveront que la fantasy jeunesse manque de complexité, d’ampleur, de subtilité… Personnellement, je ne les oppose pas. Pour mon premier roman, les 7 Tours, il s’agit clairement un roman jeunesse. Pourtant, j’ai aussi des lecteurs adultes, mais peut-être pas les grands spécialistes de fantasy qui lisent, par exemple, L’épée de vérité. L’âge du héros est-il important ? Je ne sais pas. Quel âge a donc Frodon Saquet ? Je me souviens avoir tenté de lire le Seigneur des anneaux une première fois, vers 15 ans, et avoir refermé le livre après 50 pages d’ennui mortel, à cause je pense de toute cette complexité qui fait les délices des amateurs inconditionnels. Puis, quelque mois ou années plus tard, je l’ai repris et j’ai persévéré. C’est devenu mon best, ma référence. Se souvient-on que Tolkien l’a écrit pour ses neveux ? Il s’agit donc d’un livre pour la jeunesse. On s’y perd un peu finalement, non ?

    Comment avez-vous conçu le monde d’Isuldain ? C’était difficile d’imaginer les diverses peuplades, leur représentation ? Sont-elles toutes prédéfinies ou certaines s’affineront au fil des tomes ou même n’existent-elles pas encore dans votre esprit ?

    Curieusement, le monde d’Isuldain est à la fois flou et précis dans mon esprit. C’est un peu comme s’il pré-existait dans mon imaginaire, mais que je le découvrais au fur et à mesure des voyages de Kendhil. Ainsi, certaines régions me sont-elles encore très obscures, mais elles sont là, quelque part dans mon inconscient. Par exemple, la forêt des Songes. Je ne l’ai pas encore visitée… mais j’ai hâte.

    J’ai commencé une bible des lieux et des personnages. Tout cela s’affinera avec le temps.

    Que nous réserve la suite des aventures de kendhil ?

     

    Un lecteur qui suivra les aventures dans leur chronologie, découvrira chaque fois une histoire indépendante des précédentes, mais liées toujours par cette quête qui ne trouvera son dénouement qu’à la fin du tome 6. Ensuite, j’ai déjà quelques idées pour une éventuelle poursuite des aventures de notre binôme. Pour cela, il faudrait que la première saga connaisse un franc succès…

    Que représente un elfe pour vous ?

    Très bonne question qui a déjà trouvé réponse ci-dessus, en partie. Il y aurait tant à dire sur le sujet… Dans le tome 3 des Voyages extraordinaires, j’évoque ma représentation de  » l’esprit elfique « . Le héros subit une  » élévation  » qui le transforme pour partie en elfe. Cela ne change en apparence pas grand chose au personnage, sinon qu’il développe quelques aptitudes sensitives. Mais peu à peu d’autres phénomènes se produisent qui l’amènent à changer sa vision du monde (plus naturaliste, plus sage, plus subtile… ). Si les elfes détenaient le pouvoir sur la Terre, nous pouvons être certains qu’on ne roulerait plus à l’essence, qu’on ne massacrerait plus les baleines et les gens… bref, qu’on connaîtrait la véritable valeur de la vie et de l’humanité.

    Et les dragons ?

    Celui dont on parle dans L’elfe au dragon est un  » être de conscience « . Il a donc une part d’humanité, mais il n’en demeure pas moins une créature au sang de feu. Mieux vaut ne pas le chatouiller s’il n’en a pas envie. Le dragon plus animal qu’on trouve dans d’autres œuvres, représente une puissance brute (brutale) de la nature. Elle ne fait pas dans le détail quand elle est en colère. Je crois que la Nature, dans ce qu’elle a de  » dragonesque « , quand elle pique une colère, peut se montrer terriblement destructrice. Et pourtant, elle sait aussi protéger et faire preuve de beaucoup de douceur… comme Karlo.

    D’une mannière plus générale, vous intéressez-vous à la féerie ? Si oui, qu’est-ce qui vous attire de l’Autre Côté ?

    Absolument ! Vous verriez la décoration de notre maison. Il y a des elfes partout ! (des figurines de Mary-Cécily Barclays). Ce qui m’attire de l’Autre côté du monde ? Tout ce qu’il y a de merveilleux à découvrir. L’Imaginaire est infini, alors pensez ! J’ai de quoi faire. On n’y trouve pas que du merveilleux, mais tout y est fantastique. Dans le Grand Imaginaire, tout est grandiose : les paysages sont grandioses, les batailles sont grandioses… l’amour est grandiose ! Du pur bonheur !

    Quelle est votre créature féerique préférée et pourquoi ?

    L’elfe, bien sûr, pour les raisons précisées précédemment. J’ai un grand faible aussi pour les enchanteurs, pas les magiciens ou les sorciers. Je parle de ces créatures d’essence non humaine (comme les elfes) qui possèdent de grands pouvoirs de sagesse (au sens du savoir et de ce qu’il apporte au jugement). Et j’aime bien aussi les fées.

    D’autres projets en cours ou à venir ?

    Pouh ! Plein ! J’aimerais repartir dans les infinimondes de l’Imaginaire de ma série des Voyages extraordinaires chez Plon Jeunesse. J’attends une réponse… pour bientôt. Et puis très vite, il me faudra retourner dans l’empire d’Isuldain, car Kendhil n’en a pas fini avec sa quête. Une certitude, pour les prochains mois, je reste dans le fantastique.

    Propos recueilis par le Peuple féerique en mars 2009

  • L’Elfe au dragon T1: les Maraudeurs d’Isuldain – Arthur Ténor – Seuil Jeunesse

    Maraudeurs d’Isuldain
    Elfe au dragon, t. 1
    Arthur Ténor
    Seuil Jeunesse
    Publié le 5 mars 2009
    Prix: 10 €

    Présentation éditeur:
    Son origine était un mystère, son alter ego une singularité, son caractère bien étrange pour un Sentinelle d’Oriadith… Il était l’Elfe au dragon, et il voulait savoir pourquoi.
    Son origine était un mystère, son alter ego une singularité, son caractère bien étrange pour un Sentinelle d’Oriadith… Il était l’Elfe au dragon, et il voulait savoir pourquoi.

    Pour la première fois de sa vie, Kendhil va rencontrer des humains. Sous la protection aérienne de Karlo, son dragon d’Hélion, il accompagne le doyen des elfes Sentinelles à Burgon, la cité des maîtres du fer. Lui qui rêvait de voyage et d’aventure, il ne va pas être déçu… ni ménagé par les événements.
    Comment pourrait-il en être autrement, quand on tombe entre les mains des Maraudeurs d’Isuldain, puis entre les griffes des orques de l’Obscur ?
    Le premier tome de la nouvelle série d’heroïc fantasy d’Arthur Tenor, L’Elfe au dragon.

    Notre avis:
    En choisissant d’humaniser au maximum le héros, non-humain puisque elfe, de son histoire, Arthur Ténor permet un rapprochement certain entre ses lecteurs et son héros. Ce premier tome fait l’impasse sur ce qui a amené Kendhil à choisir un dragon plutôt que les habituels alter-ego des Sentinelles que sont les aigles. En passant ici les détails de la jeunesse de Kendhil, l’auteur fait un autre choix judicieux: il laisse d’une part un joli voile mystérieux sur les origines de l’elfe, sur le lien qui le lie au dragon, ce qui enrichira à coup sûr les tomes suivants et, d’autre part, il plonge les lecteurs dans l’action sans attendre l’habituelle et longue introduction à un univers (ici réduite à 3 pages!). Les atouts de ce roman jeunesse ressortent de ces choix: un héros proche des ados-lecteurs, un rythme soutenu, des rebondissements multiples, la mise en place d’une toile de fond solide et qui promet bien du plaisir pour les suites. Le prochain tome étant attendu pour mai de cette année !

  • Lorsque les fées se mettent à table: des livres de cuisine féerique !

    C’est bien connu, les fées et les lutins sont de sacrés gourmands ! Certains sont d’ailleurs à l’origine de nombreux mets et autres délices comme le « vin de fée » à base de sureau, les fameux brownies sur lesquels tout le monde craque, le whiskey of course !, et mille autres choses plus délicieuses les unes que les autres…

    Pour vous aider à cuisiner à la façon des fées, certains livres de recettes existent. Et il y en a pour tous les publics !

    Commençons ce petit tour d’horizon par « La cuisine des elfes, des dragons, des hobbits et autres créatures fantastiques » d’Elodie Guillemin par chez Tana Editions. Un livre plein d’imaginaire et d’imagination qui vous permettra d’égayer les repas de vos bambins ou d’épater vos amis lors d’une soirée sur le thème de la féerie. Les recettes présentées sont originales, fraîches, modernes et très amusantes à réaliser. Des tuiles au parmesan à la brouillade d’oeufs de dragons dorés, il y en a pour tous les goûts et toutes les occasions !

    Lait de licorne et crapaudine écarlate. Voilà, entres autres choses délectables, ce qu’Amandine Labarre vous propose dans son « Précis de cuisine féerique » paru chez AK éditions. Cette illustratrice amoureuse de la Nature vous fait découvrir mille saveurs au travers de plats inspirés par des plantes, des fleurs sauvages et autres ingrédients dont elle a le secret.

    Le « Petit Précis de Cuisine elfique » est d’abord un très beau livre calligraphié et superbement illustré. Chaque recette y est décrite sous des tournures poétiques qui vous feront saliver bien avant d’avoir coupé le premier aliment ! Texte de Laurence Germain et illustrations de Yannig Germain aux éditions Au Bord des Continents. Vous y dégusterez de délicieuses Coquilles Saint-Jacques en Méli Mélage, du faisan à la réglisse, la crème brûlée à l’herbe de sorcier, de succulentes tomates confites miellées avec des pignons grillés… Et tout cela en suivant le rythme des saisons !

    On reste chez le même éditeur avec, cette fois, un ouvrage jeunesse dessiné par René Hausman et conté par Michel Rodrigue. « La Grande Tambouille des fées » nous raconte les aventures de Valentin et de ses drôles de visiteurs qui hantent leur nouvelle maison… A la fin de l’ouvrage, vos petits génies des fourneaux trouveront de très chouettes recettes à essayer sans plus tarder: gâteau d’écailles de dragon, étoiles de fées, petits pâtés des lutins, philtre des trois souhaits, etc. De quoi éveiller leur imaginaire et leur donner le goût de la cuisine, mmmmh !

    Pour terminer ce petit tour de livres gourmands, nous restons dans le domaine privilégié des petits avec les « Contes et Secrets des Feuilles et des Herbes » de Jacques Bertinier. Un livre très joliment illustré par Lucile Thibaudier et paru aux éditions Fetjaine. Ce petit livre plein de charme et de poésie aidera vos bambins à découvrir les différentes plantes aromatiques: thym, romarin, menthe, basilique… Un livre qui recèle des secrets fabuleux mais aussi de petites recettes très sympathiques et très faciles à réaliser. Au menu: bâtonnets d’angélique confite, beurre persillé, salade de pissenlit et infusion de romarin.

    Voilà, il ne vous reste plus qu’à passer à l’acte, sortez casseroles et tabliers !

    Quant à nous, nous vous souhaitons un bon week-end et… bon appétit !

  • Artemis Fowl – 3: Code éternité – Eoin Colfer – Folio Junior

    Artemis Fowl – 3
    Code éternité
    Collection Folio Junior n° 1391
    Auteur: Eoin Colfer
    Illustrateur de couverture Kev Walker
    Traducteur Jean-François Ménard
    Age de lecture à partir de 11 ans
    Nombre de pages 420
    Date de parution 15-03-2007
    Prix 7,20 euros

    Présentation de l’éditeur:
    Message urgent de : Artemis Fowl
    Destinataire : Peuple des fées
    « Je pense que je n’ai pas à me présenter. Ma réputation n’est plus à faire. Je suis un jeune génie du crime, j’ai monté les mauvais coups les plus audacieux, les arnaques les plus habiles. Mais ceci est ma dernière mission. Grâce à certaines de vos technologies, j’ai pu inventer l’objet ultime, qui devrait révolutionner le monde. La clé de cette petite merveille est un code que je suis le seul à connaître… Mais les choses tournent plutôt mal et, pour la première fois de ma vie, je me retrouve dans une situation désespérée. Je vous lance donc un appel au secours. Si vous n’y répondez pas, je suis perdu. Et vous aussi, Peuple des fées… »

    La troisième aventure d’Artemis Fowl, aussi folle et géniale que son héros. Ou comment notre jeune bandit millionnaire va comprendre que le crime ne paie pas toujours et qu’il est bien utile d’avoir des amis aux pouvoirs magiques. Des amis à qui il va devoir dire adieu…
    Eoin Colfer nous confirme que son imagination est sans limites. On retrouve, dans ce troisième volume, les principaux personnages de la série. On les découvre parfois sous un jour nouveau : Artemis n’est plus aussi insensible, Butler n’est plus aussi infaillible, sa sœur Juliet a grandi… Ils prennent une nouvelle dimension. Une réussite !

    Notre avis:
    Première chose à dire sur ce troisième volume des aventures d’Artemis Fowl, l’ennemi n°1 des fées, c’est qu’il est bien supérieur au volume précédent. Le jeune Artemis ayant retrouvé son papa s’engage sur une dernière affaire douteuse avant de définitivement se ranger. Il fixe un rendez-vous avec un homme d’affaires peu scrupuleux et lié à la mafia de Chicago. Alors qu’il pense, une fois de plus, maîtriser la situation, tout tourne mal. Une fois encore, il faudra faire intervenir les FAR et les fées pour sortir d’une situation délicate.

    Eoin Colfer renoue pleinement avec les qualités du premier tome en faisant se passer l’action dans notre quotidien, en y mêlant cette fois la mafia américaine avec de jolies brutes épaisses comme on les aime. L’intrigue fourmille de détails extraordinaires et l’univers féerique des plus modernes séduit largement. On retrouve bien sûr tous les protagonistes des aventures précédentes avec un joli développement du personnage de Juliet, la petite soeur de Butler, le garde du corps d’Artemis. Celle-ci devrait se développer encore plus dans les prochains épisodes.
    Un excellent moment de lecture pour les jeunes ados.

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