C’est une très belle affiche que vient de dévoiler l’organisation du festival BD et Imaginaire LE RAYON VERT. Si l’envie de vous offrir une jolie dédicace d’une de vos bandes dessinées préférées et de vous entendre dire « Dessine-moi un dragon » vous prend, c’est le rendez-vous à ne pas manquer du côté de Thionville en Lorraine les 13 et 14 mai 2017 !
Fille de Lilith, la Succube se glisse subrepticement sous les draps de l’homme endormi pour lui susurrer d’étranges pensées érotiques durant son sommeil. Séductrice, elle s’approche du pauvre mortel, drapée dans sa cape rouge conférant encore plus de pâleur à sa peau des plus blanches. D’une beauté sans égale, elle finit par vous attirer, entrouvrant son manteau pour vous pousser vers l’objet de tous les péchés. Votre corps serré contre le sien, elle aspire la vie en vous étreignant. Votre peau délicate se couvre de rides, vos cheveux blanchissent, vos dents se déchaussent… Il ne restera très bientôt de vous qu’un cadavre de vieil homme décharné.
C’était un homme pieux le Firmin. Il ne manquait jamais l’office du matin. Ni les vêpres. On aurait dit qu’il passait son temps à l’église. C’est qu’il avait une chose à se faire pardonner le Firmin. Une de ces choses qu’on ne peut révéler en confesse. Il se savait damné, mais rien n’aurait pu l’empêcher de poursuivre sur la voie du péché. Ni les prières prononcées, ni les remords et regrets. Encore moins les coups qu’il se portait, afin de se punir de ce qui le rongeait.
Il habitait la petite maison à la sortie du village, près de la forêt. Une simple masure pourvue d’une grange attenante. C’est dans l’annexe que cela se passait. Chaque nuit, il attendait son murmure, sa voix chuchotée à travers les murs et qui lançait l’inévitable invitation « Viens… »
Alors, il sortait de chez lui, jetait un regard inquiet dans la rue. D’un côté, puis de l’autre. Il fermait la porte à clef et, muni d’une chandelle, ouvrait celle de la grange. La créature l’attendait, allongée sur la paille. La faible lueur projetée de la chandelle laissait deviner un corps nu, sulfureux. L’homme posa la bougie à côté de la Succube. Car tel était son secret : cette divine créature qui venait le visiter chaque soir depuis des mois ne pouvait être que l’engeance d’un démon. Sauvage, elle s’était donnée au Firmin qui n’avait jamais connu une telle extase. A un point tel que ses mains gardaient perpétuellement la mémoire des courbes de nuit caressées, que ses narines ne se désemplissaient plus du charnel parfum de la fée. Chaque nuit, il vivait un autre temps, et chaque matin, il pleurait. Non de honte d’avoir succombé au péché mais de joie, de cette incompréhension de pouvoir toucher, jouir d’une telle beauté lui qui possédait un visage ridé, une bouche sans dent et le corps amaigri d’un homme à l’âge passé. Il ne comprenait pas pourquoi elle l’avait choisi et cette incompréhension le torturait bien plus que la culpabilité. Il cherchait une réponse, c’est pourquoi il venait chaque jour aux messes sans oser aborder le sujet de ses occupations nocturnes avec le curé.
Cette nuit-là fut encore plus magique. La créature paraissait insatiable. Son étreinte épuisait le pauvre homme. Malgré le fait de sentir ses forces le quitter, il ne pouvait refuser les avances de la dame. De peur qu’elle ne disparaisse, il caressait et caressait encore ce corps brûlant. Tout à son étreinte, il ne vit pas le feu se propager depuis le bout de chandelle posé sur la paille. Le couple enlacé faisait l’amour au cœur des flammes qui se reflétaient dans le regard de la Succube. Brusquement, elle poussa le vieil homme dans le brasier. Il hurla et de son pauvre corps meurtri, épuisé, une ombre jaillit que la Succube accueillit en son sein. Puis, elle disparut, emportant avec elle l’âme damnée du pauvre Firmin.
Si les légendes racontent que les fées se servent des tulipes comme de berceaux pour leur progéniture, c’est surtout l’Amour qui est symbolisé par cette jolie fleur de printemps. L’amour déclaré par une tulipe rouge ou l’amour désespéré de la tulipe jaune, ou encore l’amour parfait comme la fleur le symbolise en Orient où dit-on elle serait née des larmes d’un jeune prétendant perdu dans le désert…
On compte plusieurs milliers de variétés de tulipes pour une centaine d’espèces. Au 17e siècle, la Hollande fut plus qu’emballée par la belle venue de Turquie et c’est à une véritable tulipomania que le monde fit face. La tulipe y connut un tel succès que certaines variétés coûtaient entre 10 et 15 fois le salaire d’un paysan ! Heureusement, cette folie est retombée et nous permet aujourd’hui d’admirer en nos jardins la fleur merveilleusement éclose au printemps depuis le bulbe planté en automne. Ces premières touches de couleur annoncent le soleil vainqueur qui étale ses rayons sur nos jardins et balcons. De quoi ravir les Fées et autres Floralières, papillonnant gaiement autour des tulipes et, qui sait, peut-être l’une des vôtres accueillera les doux gazouillis d’un bébé-fée ?
Il fait fureur dans les goûters féeriques en Australie, voici le Fairy Bread ou « pain des fées » comme on en retrouve un peu partout de l’autre côté de la terre et pas que… Car après les Fairy Cakes, Fairy pops, voici une déclinaison bien plus simple à réaliser et qui mettra plein d’étincelles dans les yeux des petits gourmands !
La recette est facile. Prenez un pain de mie carré, coupez une tranche en deux pour former des triangles. Badigeonnez les tranches de margarine et saupoudrez de nonpareille. La nonpareille, ce sont ces perles de sucres de toutes les couleurs que l’on trouve en petits paquets ou en petits bocaux pour décorer les gâteaux. Vu leur succès, il s’en vend en différents gabarits, des plus petites aux plus plus grosses. Et pour ceux qui aimeraient y ajouter un goût particulier, il en existe des parfumées à l’orange, au citron, à la violette… Sûr que ce Fairy Breadest un peu éloigné du bon vieux pain des fées gourmandement enrobé de miel, mais le plaisir visuel est bel et bien de la partie !
Le massif forestier allemand où a eu lieu l’étrange découverte
Une incroyable découverte a été faite par un groupe de randonneurs allemands alors qu’ils faisaient du trekking dans un large massif forestier du sud de l’Allemagne. Cette région connue pour ses hectares de forêt fait l’objet de l’attention du monde entier depuis quelques jours. « Une surprise totale » a déclaré l’un des randonneurs, Gunter Grossefisch. « Nous étions tous très surpris par ce bâtiment immense, au cœur de la forêt« , rapporte encore le jeune sportif. Car cette découverte est bel et bien un immense château construit au sein de la forêt et qui plus est… habité par des elfes ! Oui, vous avez bien lu, ce château n’a pas été construit par des hommes. « Nous avons découvert dans les salles, des sculptures extraordinaires, des entrelacs qui rappellent tout à fait le Seigneur des Anneaux de Tolkien, tout à l’intérieur est vraiment très étrange, il n’y a rien d’humain là-dedans, c’est impossible ! » s’est exclamé Maria Von Geschickt, une autre membre de l’équipe des randonneurs à l’origine de cette révélation. Pour le moment, les photographies sont rares, la police ayant bouclé tout le secteur. Une équipe d’archéologues a été dépêchée sur place pour analyser chaque partie de ce château qui semble toujours habité, mais des elfes, nulle trace… Une affaire à suivre de près !
Le seul cliché déjà disponible du fabuleux château encore inconnu il y a peu