Étiquette : monde féerique

  • Interview de Thierry Gloris pour Souvenirs d’un elficologue (Soleil Celtic)

    Sorti en mars 2009, le premier tome des Souvenirs d’un elficologue nous entraîne à la suite d’un reportage d’un jeune photographe qui plongera au coeur de Féerie. Les auteurs nous emmènent en pays breton, au Mont Saint-Michel où se trame une étrange intrigue. Enquête sur une série de meurtres spectaculaires où la féerie se teinte de noir et de rouge-sang ! Un scénario signé Thierry Gloris à qui le Peuple féerique a posé ses questions…

    Votre préface mentionne que la découverte de féerie, vous la devez aux ouvrages de Pierre Dubois. Le titre de la série est-il une sorte d’hommage à ce premier elficologue français ?
    Disons que lorsque Jean-Luc Istin m’a proposé de participer à sa collection « Celtic », je me suis vraiment demandé ce que j’allais pouvoir apporter comme « valeur ajoutée ». De la féerie, je n’avais en tête que quelques films et les nouvelles d’Arthur Machen. Je me suis tourné alors vers ma bibliothèque et j’ai redécouvert la « Grande encyclopédie des elfes » que l’on avait dû m’offrir à un anniversaire et que j’avais oublié sans l’ouvrir. Non pas que j’étais insensible à sa thématique, mais il y a au moins une centaine de bouquins qui attendent en permanence que je m’intéresse à eux dans mes étagères. En me plongeant dans les ouvrages de Dubois, mon imagination était en effervescence et j’ai su à ce moment que j’allais trouver mon sujet. De ce fait, il m’a semblé logique de faire résonance à Pierre Dubois dans le titre de la série mais également dans le nom du héros ! Paul Laforêt ! !

    Votre héros a « le don de voir par-delà la réalité des choses » … Vous avez choisi d’en faire un photographe. Un métier qui collait naturellement à l’histoire ?
    L’utilisation de la photographie comme révélateur du fantastique vient d’un fait divers qui avait enflammé l’Angleterre du début du XXème siècle et connu sous le nom de : « Les fées de Cottingley ». En 1917, deux « innocentes » jeune filles, Elsie Wright (16 ans) et Frances Griffith (10 ans) ont montré des photos, prises à Cottingley, de fées et de gnomes avec lesquelles elles avaient l’habitude de jouer ! Il y a fort à parier qu’il s’agissait d’un des plus beaux canulars du siècle, mais toujours est-il, que l’idée en elle même, est merveilleuse ! Même Conan Doyle, le père de Sherlock Holmes se laissa entraîner dans cette farce à laquelle il fait si bon croire. Le second intérêt de faire du héros un photographe, c’est que cette technologie correspond, à cette époque, au futur. Il m’a paru bon d’opposer Modernité et Tradition pour les faire accoucher de : l’Imaginaire.

    Beaucoup d’auteurs semblent choisir naturellement le XIXe ou le début XXe siècle comme cadre temporel à une histoire féerique. Comment l’expliquez-vous ?
    Je pense personnellement que lorsque l’on parle des fées, c’est la clochette de Disney qui apparaît à l’esprit. C’est à dire un gentil petit personnage ailé qui vous entraîne vers l’imaginaire perdu de l’enfance. Le XIXème est le siècle du romantisme. Cette représentation un peu niaiseuse de la féerie cadre bien avec l’idée contemporaine de l’amour absolu. De mon côté, je suis plus proche de la conception d’Arthur Machen. Si la féerie existe, elle est peuplée d’êtres bons et mauvais qui partagent tous une même défiance envers l’Homme qui leur a volé leurs terres millénaires. Pour moi le XIXème en France correspond au moment où l’industrialisation et le modernisme ont pénétré au plus profond des campagnes hexagonales. Les rails métalliques du train à vapeur sont autant de flèches empoisonnées qui mettent à mort la Féerie. Le XIXème représente donc pour moi une époque tragique et magnifique où la Féerie peut encore tisser ses derniers actes de bravoure… La suite reste à inventer !

    Géographiquement, vous situez votre histoire au Mont Saint-Michel. Une zone très marquée des fées ?
    J’avais été marqué par la beauté du site du Mont Saint-Michel lors d’une visite d’enfance. Le fait que ce gros caillou était en constant mariage avec la mer dans un sac et ressac quasi immuable m’avait énormément marqué. En faire le lieu d’une rencontre entre l’Homme et la féerie m’a semblé opportun.

    Vos fées sont liées aux éléments… Une représentation logique pour vous ?
    A mon sens, les feys sont des « élémentaires » d’air. C’est à dire les représentations métaphoriques ou réalistes (en fonction du degré personnel de perméabilité à l’imaginaire) des éléments météorologiques (vents, tempêtes…) qui ont terrorisé l’Humanité depuis la nuit des temps. Ils n’ont aucune notion personnelle du bien ou de mal… Ils sont !

    Les créatures féeriques dans votre histoire font partie d’un monde invisible. Mais elles apparaissent et dirigent également les rêves. Est-ce l’idée dun subconscient plus réceptif ?

    Exactement, je pense que les rêves sont des portes vers une autre perception de la réalité. Que derrière l’onirisme, il y ait une manifestation de l’inconscient ou d’un monde imaginaire, cela m’importe peu. Toujours est il que c’est un magnifique biais pour amener un lecteur sur des chemins de traverse où tout peut arriver.

    Vous nommez le grand ennemi Balor comme le roi mythologique des Fomoires. Physiquement, il est très diférent. Comment avez-vous décidé de sa représentation ?
    Pour le Balor, je voulais un monstre « original », qui ait une double apparence, à la fois féerique et bestiale. Dans sa forme féerique, il est assez proche des feys. Dans sa forme animale, l’idée d’une chevelure mouvante s’est imposée graphiquement. Comme dans le mythe, le Balor est lié au chaos, il m’a semblé intéressant de lui donner un aspect proche des êtres immondes et tentaculaires qui vivent au plus profonds des fosses océanes…

    Finalement, le titre donné à ce premier album, l’Herbe aux Feys, ne représente pas beaucoup ce qui s’y passe… Pourquoi une telle importance à cette « herbe aux feys » ?
    Comme je ne voulais pas amener la fantaisie trop rapidement, je me suis appuyé sur un triple artifice : Premièrement la photographie qui permet de voir l’invisible. Secundo, les rêves qui permettent de percevoir un monde parallèle et tertio, l’herbe aux feys qui permet au « fumeur » d’interagir avec le monde féerique. Bien sûr, il y aura également tout un travail narratif sur Gigi, la jeune fille qui a offert « l’herbe » à Paul. Elle ne peut être qu’une simple gitane…

    Combien de tomes pouvons-nous espérer pour cette série et quand pensez-vous que le prochain sortira ?
    Nous travaillons en diptyque. Le second tome devrait sortir au printemps 2010. L’histoire « réaliste » sera close. Dans un second diptyque, j’aimerais développer les tenants fantastiques de notre histoire. Nous verrons cela en fonction du nombre de lecteurs que nous embarquerons avec nous sur les sentiers de nos légendes celtiques re-visitées.

    Votre créature féerique préférée et pourquoi ?
    Le Phénix est à mon sens le symbole du combat permanent de la vie sur la mort. Tant qu’il renaîtra, tout sera possible !

    Propos recueillis par le Peuple féerique en mai 2009

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  • Le monde féerique de Myrea Pettit

    Si on connaît bien Myrea Pettit pour son site très complet sur les fées, www.fairiesworld.com où vous pouvez y retrouver des dizaines de galeries d’artistes féeriques, des liens vers plein de sujets allant du kitchisime au plus sérieux, on oublie parfois devant tant d’informations de pensez à l’artiste. Myrea Pettit est avant tout une illustratrice. Morceaux choisis.

  • Dessiner et peindre le monde enchanté des fées – Editions Ouest-France

    Auteur:  Linda Ravenscroft
    Editeur: Ouest France
    Date de parution: février 2009
    Collection: Loisirs Creatifs
    Prix: 18 €

    Présentation de l’éditeur:

    Livre d’initiation au dessin et à la peinture d’un monde purement imaginaire.

    Troisième livre de la « collection », cet ouvrage s’intéresse plus particulièrement au monde enchanté des fées, à la faune et à la flore qui le composent.
    Fourmillant d’idées et de modèles de personnages et de paysages, cet ouvrage se compose de quatre chapitres :
    • Les conseils sur les couleurs, le matériel et les spécificités de chaque outil ;
    • Les astuces pour trouver l’inspiration et rendre l’ambiance du monde féerique : ombres et lumières, détournement d’objets…
    • Les techniques pour représenter le pays des fées dans les détails : arbres, fleurs, baies, murs de pierre, bosquets, forêts…
    • Une galerie de peintures et de personnages à reproduire.

    Notre avis:

    Ne vous arrêtez surtout pas à la couverture de ce livre ! car voilà le type d’ouvrage que tous ceux et celles qui désirent dessiner les fées et autres créatures féeriques doivent absolument se procurer ! La technique expliquée ici ne se contente pas de vous inviter à copier, voire décalquer des images de fées comme le font bien malheureusement quantité de livres sur le dessin des fées. Non, ici, vous commencerez par découvrir les différents matériaux possibles, comprendre les associations de couleurs avant de suivre l’artiste et ses trucs pour représenter des mondes enchantés. Les exercices sont vraiment efficaces si vous vous armez d’un peu de patience. Un conseil, dessinez de longs mois en vous contentant du noir et blanc que procure votre crayon avant de vous lancer dans la couleur, vous n’en serez que plus satisfait au final. Outre les débutants qui jouiront ici de très bons exemples, les dessinateurs plus aguerris trouveront quelques ficelles et quelques idées d’atmosphères vraiment bienvenues. Enfin, si vous maîtrisez déjà le côté dessin, voilà une belle ocasion de vous lancer dans la peinture, de l’aquarelle à l’acrylique. Un des meilleurs ouvrages didactiques sur le dessin féerique que nous ayons eu entre les mains.

  • Delphine Gache et le petit peuple de l'herbe… – Rencontre avec une illustratrice très nature !

    Delphine Gache fait partie de ces illustrateurs pour qui la féerie se vit au quotidien. Des fées qu’elle aime représenter dans des décors naturels ou accompagnées de leur plante totem. D’expositions en projets, d’illustration en promenade dans la Nature qui l’inspire tant, la voilà bien occupée. Un de nos lutins l’a rencontrée pour un bout de chemin partagé avec le Peuple féerique…


    Quel a été le point de départ de votre envie de dessiner, et particulièrement de dessiner les fées ?

    Je ne sais pas vraiment si il y a eu un point de départ en ce qui concerne mon envie de dessiner… Le dessin étant un mode d’expression sans limite et très adapté à ma personnalité lunaire et sensible, je crois qu’il m’a toujours accompagné et aidé à extérioriser mes émotions. En revanche, pour ce qui est de peindre l’univers des fées, cela est venu à l’adolescence, lorsque j’ai découvert « Thorgal » de G.Rosinski et J. Van Hamme… Un vrai coup de coeur !!! J’étais déjà assez sensible à ces univers oniriques, aux contes et aux légendes… Intérieurement, je naviguais déjà sur cette voie, mais graphiquement, il est indéniable que c’est cette BD qui a été le déclencheur vers la création de mon imaginaire féerique.

    Dans vos oeuvres féeriques, on ressent très fort la présence de la nature. Comment expliquez-vous cela ?
    Je pense que cela découle simplement de mon éducation. Ayant grandi à la campagne et passé toutes mes vacances d’enfance entre les forêts des Landes et les montagnes des Pyrénées… Je crois que pour moi la Nature, c’est un peu comme la potion d’Obélix, j’y suis tombée dedans quand j’étais petite ! :o)

    Une certaine celtitude est également très présente dans vos oeuvres, on pense notamment à votre calendrier 2009…
    Oui, je suis très sensible aux anciennes cultures, celle des Celtes, mais aussi toutes celles de ces peuples d’autrefois… Ils avaient un rapport à la Nature et au spirituel qui me fascine. J’utilise souvent les entrelacs. Les miens sont extrêmement simplifiés et modernisés et il est vrai, très orientés celtique, car plus appropriés au monde féerique. Je trouve cela magnifique, ils donnent rapidement de l’âme et une atmosphère aux dessins… Côté création, les imaginer est un véritable petit bonheur, car l’on devient l’espace de quelques heures un peu joaillier ou ciseleur, dans la peau d’un artisan du passé… Puis il y a aussi ce côté langage universel dans les entrelacs. En effet, si l’on regarde toutes les cultures du monde ont représenté ces lignes entremêlées à leur manière. C’est fantastique de constater que ces peuples (je pense surtout aux indiens et aux celtes) qui ignoraient l’existence des uns des autres de leur vivant aient eu les mêmes tendances picturales pour symboliser leurs périples…

    Dans votre galerie on voit clairement une évolution dans vos dessins puisque vous y présentez des illustrations datant de plusieurs années comme des réalisations actuelles…
    LOL, oui et heureusement ! Mes dessins s’étalent sur plusieurs années en effet… Techniquement et graphiquement, il est clair que mon style évolue… C’est évident, me direz-vous en ayant commencé adolescente, je suis passé par plusieurs phases… Cela dit, même si ils sont moins justes, je montre tout de même ces vieux dessins, car ils permettent d’une part de montrer l’évolution mais aussi parce qu’ils expriment quelque chose… un sentiment qui bien que grossièrement illustré peut parfois se révéler bien plus fort que dans certaines créations plus récentes.

    Lors de vos expositions, rencontrez-vous les visiteurs ? Que vous disent-ils le plus souvent ?
    Bien sûr que je rencontre les gens ! Les expositions et dédicaces sont faits pour cela… et sincèrement, ce sont de vrais souffles d’air, car c’est à ces moments là que notre métier d’artiste (que l’on soit peintre, écrivain, sculpteur ou musicien) prend toute sa dimension… Pourquoi créer, si c’est pour demeurer seul dans sa tour d’ivoire ? Nos travaux ne sont pas faits pour rester stockés dans des cartons, mais bien pour donner un peu de poésie et échanger des émotions… Donc oui, pour moi ce contact est vital. Il me permet de donner un sens à ce que je fais. Je sais pourquoi je crée et pour qui je crée, c’est très important à mes yeux !
    Enfin, pour répondre à la deuxième partie de votre question… De manière générale, les visiteurs sont toujours très sympathiques. Ils viennent pour se détendre, pour découvrir, donc dans un état d’esprit plutôt serein… Leurs remarques sont souvent des encouragements et de jolis mots de soutien. J’en profite d’ailleurs pour dire merci à
    toutes ces personnes car elles sont l’essence qui alimente mon moteur à rêves… Merci les gens! :o)

    Vous tenez une boutique sur votre site web et une newsletter. Vivez-vous exclusivement de vos créations ? Si pas, est-ce un objectif que vous vous êtes fixé ? Le web permet-il de concilier envies créatrices et besoin d’argent pour vivre ?
    La boutique que je viens d’ouvrir sur le web me sert surtout de petit extra, plus que de ressource pécuniaire viable… Je ne vis pas encore de mon art… Jusqu’à présent, les rentrées d’argent ont été très aléatoires, cela dépend des contrats que l’on décroche, du succès des expositions, des coups de cœur des gens… etc… Et les droits d’auteur qui nous salarient sont une base également variable. Cela dit, vivre de mes créations est effectivement un objectif que je me suis fixé et j’y consacre tout mon temps ! Je ne vais pas mentir, cela demande beaucoup d’énergie pour faire son chemin, montrer que l’on existe et vivre des métiers artistiques… Il faut d’abord faire ses preuves, montrer que l’on en veut, savoir faire sortir quelque chose de personnel de son travail. Dans ce combat vers la reconnaissance (car c’est ni plus ni moins cela dont il est question) Internet est effectivement un allié sans pareil pour se lancer ! Cela facilite les échanges et permet de travailler sur un réseau très étendu, c’est un outil extraordinaire et même indispensable !

    Quelles sont vos travaux en cours ou vos projets à venir ?
    Un nouveau magazine Hors série ne va pas tarder à sortir chez ESI Editions… Je crois qu’il est prévu pour mi-février 2009. Je prépare également une exposition pour la fin du mois de mai à Paris, dans la boutique du «Jardin du Graal»… Ensuite pour le reste des projets en cours, je ne peux hélas en chuchoter un mot… Cela dit, soyez en certains, 2009 s’annonce haut en production…Les turbines à dessin sont en pleine activité et les lutins de l’inspiration s’appliquent à construire les morceaux de rêves…

    Pour vous, la créature féerique la plus intéressante, c’est…
    Je vais sans doute en étonner plus d’un, mais pour moi, la créature fantastique la plus intéressante, c’est le Vampire… J’aime leur dualité, leur complexité et cet aspect torturé qui est en eux… Cet être autrefois humain qui se retrouve pris au piège du temps me fascine. Condamné à vivre éternellement, ayant tant de choses à apprendre, tant de choses à découvrir, possédant toutes ces capacités si extraordinaires… mais souffrant néanmoins de sa condition de monstre et malgré lui mis à l’écart de toutes ces belles choses qu’un être éphémère peut vivre ! Oui j’adore les vampires…Cela étant, j’aime aussi toutes les autres créatures imaginaires… Car dans leur ensemble, elles reflètent si bien ce que nous sommes nous, les Hommes…

    Propos recueillis par le Peuple féerique en janvier 2009.

    Retrouvez sur son site web, les illustrations et actualités de Delphine Gache

  • Féerie Art – Fleurus

    Féerie Art – Peindre le monde des fées
    Amandine Labarre

    Editions Fleurus

    26,50 €

    Présentation de l’éditeur :

    Les secrets d’un monde féerique révélés aux artistes !

    * À quoi ressemblent les fées, comment s’habillent-elles, les lieux où elles se cachent, leurs occupations favorites… Avec un pinceau pour baguette magique, Amandine Labarre plonge le lecteur dans un univers merveilleux et lui enseigne pas à pas l’art de peindre un monde féerique.
    * Une introduction extrêmement complète aborde l’art du dessin et de la peinture (proportions, composition, techniques picturales) mais aussi tous les détails qui permettent de transformer un simple personnage en créature féerique.
    * 20 fées tout droit sorties de légendes sont dessinées étape par étape, de la première esquisse jusqu’au dernier coup de pinceau.
    * De très belles images complètent l’ouvrage, pour faire rêver et inspirer tous les artistes en quête de merveilleux.

    Notre avis :

    Qui n’a jamais rêvé de pouvoir mettre sur papier les créatures féeriques qui hantent son esprit ? Qui n’a jamais tenté de dessiner ce coin de verdure où de joyeux lutins forment une entraînante farandole? Qui n’a jamais désiré représenter sa douce moitié en beauté elfique ou son compagnon en prince féerique ? Hélas, mille fois hélas, comment se lancer ? Quelle technique choisir et où trouver l’inspiration ? Ces questions et d’autres trouvent désormais réponse dans ce livre écrit par Amandine Labarre, talentueuse illustratrice de Féerie. Tout au long des pages enrobées d’anecdotes féeriques, les techniques et astuces de la professionnelle sont expliqués simplement. Un savoir livré sans détour et qui devrait donner un sérieux coup de pouce à tous ceux qui veulent traduire leur passion sur feuilles à dessin ou aquarelles…

    Un livre qui s’adresse quand même aux personnes ayant déjà quelques connaissances côté proportions, perspectives et crayonnés, sinon vous risquez d’attendre pas mal de temps avant de pouvoir vous approcher de tels résultats. Mais en matière de féerie, l’important est de croire et de ne jamais se décourager !

    Remarque:

    La couverture du livre diffère au final du projet qui est présenté en début d’article. Ainsi, vous pourrez comparer. A noter que le titre est en argenté, ce qui ne se voit pas au scan… Voici la couverture:


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