Étiquette : dragon

  • Ood Serrière nous parle du jeu en ligne Dragonea

    Un jeu où l’on fait grandir son petit dragon rien qu’à soi… Vous en rêviez? Eh bien ça vient d’être lancé ! Nos lutins se sont précipités sur la créatrice des petits dragons, Ood Serrière pour une interview expresse…

    En quoi consiste le jeu Dragonea ?

    Le but du jeu est d’élever un dragon, de le nourrir, de l’entraîner, de lui trouver un métier, de partir avec lui en quête d’aventures, de le faire devenir le plus fort possible afin qu’il puisse avoir des enfants encore plus puissants que lui.

    Tu as réalisé les illustrations du jeu, quelles en ont été les étapes principales ?

    Je me suis beaucoup amusée à faire ces illustrations! Il s’agissait d’abord d’établir les règles pour les icônes :

    1 – définir ensemble le style d’image qu’il nous fallait (classique, cartoon, sérieux, …)

    2 – faire quelques essais pour confirmer l’étape 1

    3 – faire les illustrations,en gardant à l’esprit qu’il faut s’amuser et ça, pendant quelques mois, en respectant les thèmes de la foret, montagne, etc

    Il devait y une centaine d’illustrations en tous genres, Bébés Dragons , adolescents, adultes, icônes de jeux nourriture, pour le combat, etc

    Concernant le jeu global , c’est la partie de Jejem et Tahyse, les concepteurs.

    1 – trouver l’idée / le nom
    2 – faire la conception papier « globale »
    3 – développer une « interface » digne de ce nom
    4 – vérifier que la conception papier « tient la route » avec quelques simulations
    5 – découper le développement en parties spécifiques
    6 – organiser les parties, commencer à développer
    7 – Réaliser les Illustrations en adéquation avec le jeu !


    Les dragons représentent quoi pour toi ?

    Beaucoup d’espoir, ils sont puissants et magiques, et dans mon monde, amusants, mignons, une sorte d’animal domestique extraordinaire, un compagnon de voyage. Le dragon représente un imaginaire vaste et merveilleux, une sorte d’étrange ami toujours présent. Il est très symbolique, il pourrait être effrayant ressemblant au serpent et reptile, mais symbole de vie et de beauté, il devient pour moi amical. Je pense aux films comme ‘histoire sans fin’, ‘Peter et Elliott le dragon’, etc.


    Tu nous dessines un p’ti dragon en vitesse pour nos lecteurs ?

    Voila un des bébé dragons du jeu, qui grandira!


    Venez essayer le jeu et donner votre avis ! http://www.dragonea.com
    Propos recueillis en février 2009 par le Peuple féerique
  • La cuisine des elfes, des dragons, des hobbits et autres créatures fantastiques – Elodie Guillemin – Mon Grain de Sel – Tana Editions

    La cuisine des elfes, des dragons, des hobbits et autres créatures fantastiques

    Auteur: Elodie Guillemin

    Prix : 12 €
    ISBN: 978-2-84567-469-1
    Format : 135×154 mm
    160 pages

    Collection Mon Grain de sel

    Editions Tana

    Notre avis:

    Paru en octobre 2008, ce petit livre de recettes est un véritable bijou pour qui veut épater ses convives ou sa famille avec une table originale inspirée du Seigneur des Anneaux ou de l’univers des jeux de rôles d’heroic fantasy. L’auteure s’est en effet inspiré de ces mondes imaginaires pour concocter ces petites recettes simples à mettre en place mais qu’on imagine déjà au milieu d’une table de fées, l’été au coeur du jardin, l’hiver près d’une cheminée flamboyante. Inutile de dire que la plupart des plats raviront les enfants comme « ces araignées noires dans leur toile » tout en barbe à papa et réglisse ou ce nid de dragon alliant pâtes, oeuf et crème… Les plus grands se délecteront de quelque vin d’elfe ou pâtés en croûte selon les plus belles recettes du Petit Peuple et de ces gourmands d’Hobbits !

    Chaque recette est accompagnée d’une superbe photo en pleine nature et introduite par un texte nous plongeant dans l’univers tantôt des dragons, tantôt des elfes, nains, nomades ou sorciers. Plusieurs notes résument l’univers de chacune de ces peuplades féeriques et on ressent toute l’importance du jeu de rôle dans la démarche qui a amené l’auteure à la rédaction de ce très beau livre de recettes à offrir ou à s’offrir pour des repas-plaisirs garantis !

  • La Malédiction de l'anneau: Les chants de la Walkyrie – Edouard Brasey – Editions Belfond

    Les chants de la Walkyrie
    Edouard BRASEY
    Octobre 2008
    Belfond Français – Littérature française
    20 € – 396 p.

    Présentation éditeur:
    Premier tome de la tétralogie La Malédiction de l’anneau, Les Chants de la Walkyrie plonge au cœur des anciennes mythologies et légendes nordiques. Dans ce premier volet, Brunehilde, fille d’Odin, le dieu suprême, fuit par amour l’univers des dieux et découvre le monde des hommes…

    Présentation du livre
    Odin, le dieu suprême, a engendré sur terre la puissante lignée des rois du Frankenland, les seuls à pouvoir perpétuer l’étincelle divine qui sommeille au coeur des hommes. Mais Frigg, l’épouse d’Odin, frappe la reine du Frankenland de stérilité. Odin fait alors appel à Brunehilde, la Walkyrie chargée de recueillir le dernier souffle des guerriers valeureux pour les conduire au paradis du Walhalla, afin qu’elle apporte à la reine l’une des pommes d’éternelle jeunesse qui poussent dans le verger de Freya. Pour accomplir sa mission, Brunehilde doit abandonner son statut de déesse et de vierge guerrière. Devenue simple mortelle, elle chante les anciennes sagas mettant en scène les dieux et les héros, avant d’être, par amour, reine, épouse et mère. Mais la malédiction de l’anneau du Nibelung va bientôt entraîner le crépuscule des dieux…

    Anneaux magiques et épées invincibles, Walkyries et dragons, géants et nains, dieux et héros animés de passions ardentes… Dans la lignée de L’Anneau du Nibelung, de Richard Wagner, et du Seigneur des anneaux, de J.R.R. Tolkien, Les Chants de la Walkyrie est le premier volume de La Malédiction de l’anneau, une saga foisonnante au souffle épique et héroïque, inspirée des anciennes mythologies et légendes nordiques.

    Notre avis :

    C’est avec beaucoup de curiosité que nous avons ouvert ce premier volume de cette saga qui en comptera quatre. D’abord, car c’était la première fois que nous lisions un roman de la plume du conteur et encyclopédiste Edouard Brasey. Ensuite, car la mythologie nordique et germanique est bien évidemment un de nos intérêts vu notre lien avec le Petit Peuple. Un roman qui promettait un beau moment en compagnie des dieux nordiques et de créatures comme les nains et les alfes ne pouvait que nous attirer.

    L’idée d’Edouard Brasey est judicieuse. Après l’énorme regain de succès pour l’oeuvre de Tolkien suite à l’adaptation cinématographique de Peter Jackson, une tétralogie autour de la plus fameuse malédiction due à un anneau, celle-là même qui inspira l’auteur de la Terre du Milieu, ne peut qu’être un succès. Encore fallait-il réussir le pari de la forme romancée donnée ici aux épopées mythologiques. Edouard Brasey apporte essentiellement quatre choses dans son récit. La première est son grand talent de conteur. Même si c’est écrit, on ressent le mode oral derrière les jolis mots employés et ceci colle parfaitement à l’ambiance mythologique et aux sources autrefois contées par les scaldes et autres bardes. La deuxième chose est un peu moins appréciable. Certains passages s’ouvrent comme des parenthèses nous expliquant ou réexpliquant un fait ou un personnage dans ses origines ou ses liens avec d’autres. Si là aussi on entrevoit l’oralité, on peut également supposer que c’est l’encyclopédiste qui parle. Même si un glossaire existe en fin de livre et nous apparaît indispensable, il aurait peut-être fallu l’étoffer et alléger les passages explicatifs du roman. Enfin, les troisième et quatrième apports sont certainement les plus riches et de loin les plus intéressants d’un point de vue narratologique. Edouard Brasey, en romançant la mythologie nordique, l’enrichit de détails contemporains à l’époque décrite et développe habilement la psychologie des personnages. Ceci tisse la trame de l’histoire, crée des liens intéressants, des passerelles intelligentes entre les récits et les protagonistes. En cela, Edouard Brasey a plutôt bien réussi son pari: on se prend aux chants de la malheureuse Walkyrie Brunehilde et au destin tragique des enfants d’Odin.

  • Pour amuser les plus petits: Fais attention dragon Léon ! – Casterman

    Lorsqu’on est un dragon, la vie n’est pas facile. A la patinoire, on fait fondre la glace, à la piscine, c’est l’eau qui s’évapore en bouillant et quand on partage une crême glacée avec les amis, ça tourne aussi vite à la catastrophe ! Alors, n’y a-t’il personne qui aime dragon Léon ?

    Ce petit livre écrit par Annie Kubler et paru aux éditions Casterman régalera vos bébés ! La drôle de tête de marionnette de Léon avec sa langue de côté et ses yeux globuleux fonctionne à merveille. Vrai de vrai ! On a bien sûr testé pour un moment de pur bonheur et de bonne rigolade !

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