Étiquette : Amandine Labarre

  • Le Dico féerique, tome 1 – Le règne humanoïde, André-François Ruaud, Les Moutons électriques

    Le Dico féerique
    Tome 1 – Le règne humanoïde
    « la bibliothèque des miroirs », vol. 6
    Auteur:André-François Ruaud
    Editions Les Moutons électriques
    Format 21 cm x 17 cm
    304 pages
    Parution:20 janvier 2010
    Prix 25 €

    Présentation de l’éditeur:

    Qu’est exactement qu’un ogre ? Une nixe ? Un monaciello ?
    Quel était le nom du mari de Titania ?
    Serait-ce bien prudent d’aller s’asseoir près du feu avec ce nain ?
    Quelle est la différence entre une banshee et une dame blanche ?
    Quels anges portent une épée de flammes tournoyante ?
    Comment peut-on se débarrasser d’un feu-follet ?

    Si vous ne savez pas répondre à ces questions, nous vous recommandons la lecture de cette petite encyclopédie des peuples et créatures surnaturels et magiques du folklore et de la mythologie mondiale.

    Il serait imprudent de la part des amateurs de féerie et de fantasy de s’aventurer en direction des vertes contrées de l’Autre Monde sans ce guide, qui vous détaille les particularités et les habitudes de ses nombreux habitants de type plus ou moins anthropomorphe. D’acheri (le fantôme d’une petite fille indienne) à Yuki Onna (la fée japonaise de la neige), toutes les merveilles et toutes les terreurs des séjours féeriques.

    Avec des illustrations originales de David Alvarez, Michelle Bigot, Laurent Coupet, Amandine Labarre, Patrick Larme et David Thiérrée, ainsi que des gravures anciennes. Plus trois contes de Grimm, Andersen et Mme Leprince de Beaumont. Suivront un tome 2 sur le règne animal (juin 2010) et un tome 3 sur le règne végétal (début 2011).

    Notre avis:

    Il y a plusieurs façons d’aborder le monde de féerie. Les folkloristes et ethnologues le font en répertoriant les créatures et légendes d’un territoire précis, les conteurs et auteurs en y brodant de petits ajouts personnels ou en arrangeant les histoires au service de Mère Fiction, les encyclopédistes en notant scrupuleusement toute trace de fées et de lutins pour les ranger dans des catégories et des dictionnaires.

    A première vue, André-François Ruaud a entreprit une démarche encyclopédique mais le titre de cet ouvrage (en trois tomes) en dit long. Par « Dico », ce mot court et plutôt moderne, sous-entend que ce n’est pas l’exhaustivité qui est recherchée mais une sorte de panorama, de papillonnage au travers du monde des contes, légendes, de la littérature (un domaine que l’auteur maîtrise particulièrement bien), des mythologies, voire des religions… « Féerique » par une approche englobant toutes les sphères de l’imaginaire parlant de créatures, dans une approche universelle, aussi bien au niveau de la géographie, de l’Histoire que des croyances.

    Un gros travail a priori qui confirme qu’André-François Ruaud est un acteur incontournable de la scène de l’Imaginaire par ses entreprises (comme la dynamique maison d’édition des Moutons électriques), par ses études, par ses prises de position qui suscitent les débats comme lorsqu’il affirme que le genre fantasy englobe les mythes, contes et légendes faisant aussitôt surgir la critique qu’un genre ne peut naître avant sa naissance, lorsqu’une dynamique s’installe, que plusieurs auteurs reprennent les idées fondatrices, ou, autre réponse critique, que placer les mythes en fantasy est oublier que le mythe est vérité alors qu’un roman est fiction.

    Et il faut avouer que ce dico féerique, bel objet au contenu très intéressant ouvre à nouveau les débats. D’un côté, il permet de papillonner autour du monde et de voir surgir certaines similitudes entre différents êtres et créatures, d’ouvrir des portes vers les pays de l’est, Hawaï, l’Asie… Et ce tour du monde féerique est fascinant. D’un autre côté, en jetant des ponts entre les créatures issues des mythologies, des légendes, de la littérature, de croyances modernes et anciennes, en nommant un lutin, brownie, en parlant des elfes d’Hawaï, etc., surgit le danger du syncrétisme, horrible lorsqu’il simplifie, mélange et fait disparaître des créatures féeriques particulières, les reléguant au Néant.

    Certes, André-François Ruaud donne assez d’éléments que pour pouvoir distinguer chacune des créatures ici citées, définies. Mais quelqu’un qui se reposerait sur le Dico féerique pour ses propres conclusions ou pour poursuivre une étude de son côté, sans approfondir la matière avec d’autres sources, tomberait, lui, très facilement dans l’amalgame, voire l’erreur.

    Prenons deux exemples. AF Ruaud note à l’entrée « Petite souris » (Tooth Fairy) qu’il s’agit de lutins. Je n’ai pas personnellement approfondi ce sujet mais il existe une nette différence entre la fée des dents anglo-saxonne et la petite souris qui me récompensait dans ma jeunesse pour la perte de dents de lait. Il aurait fallu creuser le sujet ou choisir l’entrée « Fée des dents » en donnant l’origine et l’explication anglaises.

    Second exemple, les Fadets ou Fras de l’île d’Yeu. En mettant en avant le mot « fadet » dans un dictionnaire, cela se fait au détriment du mot « fradet », mot qui est toujours aujourd’hui utilisé sur l’île d’Yeu. La différence peut vite conduire à l’erreur, à l’amalgame ou pire, à l’oubli.

    Faire un dictionnaire est certainement la chose la plus difficile au monde, surtout si celui-ci se veut sérieux. D’autres nous ont offert des encyclopédies pleine de facéties mais le ton donné nous l’annonçait joyeusement. La féerie est mouvante, insaisissable, et pour une grande partie, elle appelle en soi l’amalgame (réducteur) ou la créativité (enrichissante). Difficile donc, voire impossible de faire un vrai dictionnaire « universel » de la féerie… On peut viser l’exercice pour une région, voire un pays. Alors si l’on prend ce Dico féerique pour une encyclopédie universelle, un ouvrage fondamental comme le sous-entend les mots « encyclopédie », « dictionnaire », c’est faire fausse route.

    Par contre, si, comme dit au début, on utilise, on explore cet ouvrage pour papillonner, entrer de ci de là par le biais d’un nom, d’une créature, dans le monde des contes et légendes, alors là oui, voilà bien un livre qui renferme de très nombreuses entrées, de quoi vous faire voyager pendant de longues années. Un voyage agrémenté d’illustrations réussies, un labyrinthe de découvertes féeriques qui n’est pas prêt de vous indiquer la sortie. Et c’est tant mieux !

    Pour conclure, ce dico féerique est un merveilleux ouvrage pour quiconque apprécie le monde des mythes, contes, légendes et bien entendu de la féerie et, sans être un véritable dictionnaire, c’est un très bon répertoire. D’ailleurs, nous sommes les premiers à attendre avec impatience les deux suites (surtout la troisième, le monde végétal ayant toujours eu notre préférence). Une publication à suivre de près, donc !

  • Lorsque les fées se mettent à table: des livres de cuisine féerique !

    C’est bien connu, les fées et les lutins sont de sacrés gourmands ! Certains sont d’ailleurs à l’origine de nombreux mets et autres délices comme le « vin de fée » à base de sureau, les fameux brownies sur lesquels tout le monde craque, le whiskey of course !, et mille autres choses plus délicieuses les unes que les autres…

    Pour vous aider à cuisiner à la façon des fées, certains livres de recettes existent. Et il y en a pour tous les publics !

    Commençons ce petit tour d’horizon par « La cuisine des elfes, des dragons, des hobbits et autres créatures fantastiques » d’Elodie Guillemin par chez Tana Editions. Un livre plein d’imaginaire et d’imagination qui vous permettra d’égayer les repas de vos bambins ou d’épater vos amis lors d’une soirée sur le thème de la féerie. Les recettes présentées sont originales, fraîches, modernes et très amusantes à réaliser. Des tuiles au parmesan à la brouillade d’oeufs de dragons dorés, il y en a pour tous les goûts et toutes les occasions !

    Lait de licorne et crapaudine écarlate. Voilà, entres autres choses délectables, ce qu’Amandine Labarre vous propose dans son « Précis de cuisine féerique » paru chez AK éditions. Cette illustratrice amoureuse de la Nature vous fait découvrir mille saveurs au travers de plats inspirés par des plantes, des fleurs sauvages et autres ingrédients dont elle a le secret.

    Le « Petit Précis de Cuisine elfique » est d’abord un très beau livre calligraphié et superbement illustré. Chaque recette y est décrite sous des tournures poétiques qui vous feront saliver bien avant d’avoir coupé le premier aliment ! Texte de Laurence Germain et illustrations de Yannig Germain aux éditions Au Bord des Continents. Vous y dégusterez de délicieuses Coquilles Saint-Jacques en Méli Mélage, du faisan à la réglisse, la crème brûlée à l’herbe de sorcier, de succulentes tomates confites miellées avec des pignons grillés… Et tout cela en suivant le rythme des saisons !

    On reste chez le même éditeur avec, cette fois, un ouvrage jeunesse dessiné par René Hausman et conté par Michel Rodrigue. « La Grande Tambouille des fées » nous raconte les aventures de Valentin et de ses drôles de visiteurs qui hantent leur nouvelle maison… A la fin de l’ouvrage, vos petits génies des fourneaux trouveront de très chouettes recettes à essayer sans plus tarder: gâteau d’écailles de dragon, étoiles de fées, petits pâtés des lutins, philtre des trois souhaits, etc. De quoi éveiller leur imaginaire et leur donner le goût de la cuisine, mmmmh !

    Pour terminer ce petit tour de livres gourmands, nous restons dans le domaine privilégié des petits avec les « Contes et Secrets des Feuilles et des Herbes » de Jacques Bertinier. Un livre très joliment illustré par Lucile Thibaudier et paru aux éditions Fetjaine. Ce petit livre plein de charme et de poésie aidera vos bambins à découvrir les différentes plantes aromatiques: thym, romarin, menthe, basilique… Un livre qui recèle des secrets fabuleux mais aussi de petites recettes très sympathiques et très faciles à réaliser. Au menu: bâtonnets d’angélique confite, beurre persillé, salade de pissenlit et infusion de romarin.

    Voilà, il ne vous reste plus qu’à passer à l’acte, sortez casseroles et tabliers !

    Quant à nous, nous vous souhaitons un bon week-end et… bon appétit !

  • Interview d'Amandine Labarre pour son livre "Féerie Art" aux éditions Fleurus

    Amandine Labarre a véritablement trouvé sa place en Féerie. Chacun de ces ouvrages est une invitation à la douceur et à la découverte. Chacun de ses livres nous plonge dans un monde où Fées et Nature nous entourent d’un voile aussi doux que généreux.

    Avec « Féerie Art« , Amandine offre à quiconque désire dessiner ou peindre les fées, une multitude de conseils bienvenus pour qu’enfin vos visions féeriques prennent forme sur papier…

    On connaissait l’artiste et on découvre par cet ouvrage la technicienne voire la prof… Où avez-vous, vous-même, appris toutes ces techniques ?
    Dans des livres… J’ai eu l’occasion de suivre quelques cours de copie de tableaux à l’huile, mais c’est une technique que je n’utilise pratiquement plus… Pour le reste, je n’ai pas suivi d’école d’arts appliqués, mais beaucoup de rendus ou de techniques différentes m’intéressent, donc j’ai essayé d’expérimenter autant que je le pouvais les différentes pistes qui m’attiraient, en observant les oeuvres d’art que j’admirais le plus… En gros, on peut dire que je m’éparpille beaucoup.

    Les illustrations rassemblées dans cet ouvrage didactique ont-elles été spécialement réalisées pour lui ? C’est un livre qui a dû demander beaucoup de temps et d’investissement, non ?
    Oui, à part une ou deux, toutes les illustrations ont été faites spécialement. La réalisation du livre s’est étalée sur environ un an, écriture comprise, mais je répondais aussi à d’autres commandes en parallèle. Le thème était une commande de l’éditeur, mais j’ai essayé de le rendre aussi peu dogmatique et aussi léger que possible, évidemment il n’y a pas de recette magique pour dessiner, mais je crois qu’avoir des pistes supplémentaires et des encouragements peut aider à maintenir l’enthousiasme et à persévérer. Après, l’essentiel est dans le désir et l’inspiration de chacun, plus que dans la technique.
    À partir de quel niveau peut-on rejoindre ce qui y est présenté ? Simple débutant ?
    Oui, je pense, les indications vraiment techniques ne sont pas spécialement complexes.

    Un ami korrigan, qui vient de fêter ses 273 ans, me disait l’autre jour vouloir se mettre au dessin… D’après vous, il n’y a pas d’âge pour commencer ou vaut-il mieux dessiner depuis tout petit ?
    Ouh, et bien il faut profiter de Noël pour offrir des crayons et du beau papier à ton ami ! Il n’y a évidemment aucun âge limite pour se faire plaisir ou pour débuter une pratique artistique quelle qu’elle soit 🙂

    À côté des conseils en dessin, couleurs, etc., on remarque certains domaines où vous excellez particulièrement, je pense à la représentation d’animaux, d’insectes, de plantes… D’où vous vient cette expertise ?
    Merci. En fait, la seconde partie de mon travail d’illustratrice concerne le domaine purement documentaire: ouvrages animaliers pour la jeunesse, collaborations avec des centres permanents d’initiative pour l’environnement… Je suis passionnée par la nature depuis toute petite, et à cette époque, je dessinais déjà à la fois des chats et des princesses… Je n’ai pas réussi à choisir, du coup, j’ai toujours un pied dans le merveilleux pur et l’autre dans les études naturalistes… Les deux sont aussi pour moi intimement liés.

    Tout le livre est véritablement baigné dans un univers féerique. Là aussi, on ne peut qu’applaudir vos connaissances sur le sujet. La féerie est un domaine que vous connaissez depuis longtemps ? Comment ou pourquoi vous êtes-vous plongée dans l’univers féerique ?
    Merci encore. J’ai essayé de mettre des petites touches de légendaire au fil des pages pour que le livre ne soit pas trop aride…
    Ma mère était bibliothécaire spécialisée dans la littérature jeunesse, j’ai donc était bercée depuis toute petite par les histoires merveilleuses, de forêts profondes, d’animaux parlants et de contes et légendes de toutes sortes… J’en ai gardé une attirance marquée pour les livres, et aussi pour tout ce qui touche à l’imaginaire, à la poésie de la nature, aux grands mythes et aux petites histoires… Ado, j’ai par la suite été captivée par le superbe livre d’Alan Lee et Brian Froud, « Les fées », qui montrait des images du peuple féerique telles qu’on en avait jamais vues auparavant, inspirées de grands illustrateurs comme Dulac ou Rackam, mais avec une spontanéité et une fraîcheur toute contemporaine, qui donnait l’impression de pouvoir approcher et toucher toutes ces créatures fantastiques et touchantes… Les fées apparaissent souvent comme les manifestations d’une « autre voie », une voie proche de la Nature, sensible, en harmonie totale avec son environnement et les différents mondes, mais aussi en opposition à tout ce qui symbolise l’ordre, les conventions, le prévisible. Le chemin bordé d’orties, envahi par les ronces, tellement plus passionnant que la route rectiligne qui nous est constamment proposée.

    Dans les 2 pages d’introduction sur l’univers des fées, vous écrivez « Si les fées continuent de nous séduire autant, c’est peut-être parce qu’elles semblent préservées à jamais de toute amertume, définitivement à l’abri du triste matérialisme qui pèse parfois sur nos existences en mal de croyance et de merveilleux. Elles évoquent une relation d’harmonie simple et juste avec la nature – une communion que nous cherchons souvent à retrouver. Elles restituent également la part de magie et d’enfance qui subsiste en chacun de nous, cette étincelle qui ne cesse jamais d’espérer en dépit des obstacles du quotidien« .
    Si l’on suit ce que vous dites, l’énorme succès de la féerie aujourd’hui serait dû à cette combinaison d’existence en mal de croyance, de retour à la Nature et à l’enfance ?

    Tu résumes parfaitement ma pensée, mais ce n’est qu’un point de vue personnel, il y a sûrement d’autres interprétations possibles…

    Pouvoir dessiner une fée, pour vous, c’est un moyen de se lier à elles ?
    Le dessin est souvent un moyen de mieux comprendre le monde, de se l’approprier, de l’enchanter… Dessiner une fée, c’est lui permettre d’entrer dans votre vie, avec sa charge de magie et de symboles.

    Quelle est votre créature féerique préférée et pour quelle raison ?
    C’est difficile de choisir ! J’aime les créatures particulièrement sauvages, comme les hamadryades ou les faunes, car ils recèlent aussi une part de mystère et de ténèbres qui reflètent bien la complexité, la profondeur superbe de la nature…

    Propos recueillis par Le Peuple féerique en décembre 2008

  • Féerie Art – Fleurus

    Féerie Art – Peindre le monde des fées
    Amandine Labarre

    Editions Fleurus

    26,50 €

    Présentation de l’éditeur :

    Les secrets d’un monde féerique révélés aux artistes !

    * À quoi ressemblent les fées, comment s’habillent-elles, les lieux où elles se cachent, leurs occupations favorites… Avec un pinceau pour baguette magique, Amandine Labarre plonge le lecteur dans un univers merveilleux et lui enseigne pas à pas l’art de peindre un monde féerique.
    * Une introduction extrêmement complète aborde l’art du dessin et de la peinture (proportions, composition, techniques picturales) mais aussi tous les détails qui permettent de transformer un simple personnage en créature féerique.
    * 20 fées tout droit sorties de légendes sont dessinées étape par étape, de la première esquisse jusqu’au dernier coup de pinceau.
    * De très belles images complètent l’ouvrage, pour faire rêver et inspirer tous les artistes en quête de merveilleux.

    Notre avis :

    Qui n’a jamais rêvé de pouvoir mettre sur papier les créatures féeriques qui hantent son esprit ? Qui n’a jamais tenté de dessiner ce coin de verdure où de joyeux lutins forment une entraînante farandole? Qui n’a jamais désiré représenter sa douce moitié en beauté elfique ou son compagnon en prince féerique ? Hélas, mille fois hélas, comment se lancer ? Quelle technique choisir et où trouver l’inspiration ? Ces questions et d’autres trouvent désormais réponse dans ce livre écrit par Amandine Labarre, talentueuse illustratrice de Féerie. Tout au long des pages enrobées d’anecdotes féeriques, les techniques et astuces de la professionnelle sont expliqués simplement. Un savoir livré sans détour et qui devrait donner un sérieux coup de pouce à tous ceux qui veulent traduire leur passion sur feuilles à dessin ou aquarelles…

    Un livre qui s’adresse quand même aux personnes ayant déjà quelques connaissances côté proportions, perspectives et crayonnés, sinon vous risquez d’attendre pas mal de temps avant de pouvoir vous approcher de tels résultats. Mais en matière de féerie, l’important est de croire et de ne jamais se décourager !

    Remarque:

    La couverture du livre diffère au final du projet qui est présenté en début d’article. Ainsi, vous pourrez comparer. A noter que le titre est en argenté, ce qui ne se voit pas au scan… Voici la couverture:


  • Précis de Cuisine Féerique – AK éditions

    Après nous avoir ravi de son Herbier Féerique, Amandine Labarre nous revient dans un ouvrage illustré qui s’adresse aux gourmands. Et comme nous le sommes tous un peu, voire beaucoup, on se délecte en parcourant les pages merveilleusement bien illustrées de ce Précis de Cuisine Féerique (AK Editions).
    Vous y découvrirez de nombreuses recettes elfiques, mélanges subtils de plantes et de fleurs qui vous donneront autant d’idées originales pour des petits repas entre amis ou pour inviter vos amis du Petit Peuple à calmer leurs fringales. Alors si vous êtes tenté de concocter un Lait de Licorne ou de goûter la Crapaudine écarlate, voilà un livre à acquérir d’urgence. Et pensez aux fêtes de fin d’année, c’est en effet un très joli cadeau pour une fin d’année féerique.

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