J’ai longtemps cru à un mirage, là, posé au milieu du pré. Une apparition venue des profondeurs de mon esprit altéré par tant de voyages, de lectures, d’idées.
J’ai d’abord été saisi d’effroi à te voir si belle. J’ai attendu que mon cœur ralentisse, de pouvoir respirer avant d’approcher.
Sous le ciel d’été, tu étais là à danser au milieu des corolles jaunes.
Ma fée soleil !
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