Étiquette : médiéval

  • Concours Fragments d’étoile sur le Peuple Féerique !

    Voici comme promis, un petit concours de plus. Cette fois, c’est une jolie parure pleine de charme et de mystère que vous pouvez remporter.

    Une parure composée d’un collier et de boucles d’oreilles d’inspiration elfique. Explorez les mystères de la Nuit et de la Lune Bleue avec ces perles gouttes en verre bleu et leurs crochets et éléments en métal argenté signés Fragments d’Etoile !

     

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    Pour remporter ce lot, il vous suffit de répondre en commentaire à ce post-ci à la question suivante dont la réponse se trouve dans l’article paru lundi à propos de Fragments d’Etoile : Avant de créer des bijoux, Fragments d’étoile pratiquait un autre art, lequel ?

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    Attention, pour gagner le lot, cette fois, il vous faudra être le dernier à répondre correctement avant l’arrêt du concours fixé au jeudi 29 OCTOBRE 2015 18h47, heure affichée sur votre commentaire faisant foi. Bonne chance !

  • Rencontre avec Ange pour la nouvelle série "Marie des Dragons" parue chez Soleil

    Frappez tambours, résonnez trompettes ! Une nouvelle héroïne est née aux éditions Soleil! Marie… Marie des Dragons. Un village ravagé, des parents assassinés, des frères et sœurs disparus. La jeune fille revient quelques années plus tard, guerrière affirmée et prête à se venger. Une nouvelle série servie avec talent par Ange au scénario et Thierry Démarez au dessin. L’occasion pour nous d’en discuter avec Ange qui avait bien des choses à dire sur le sujet !

    Marie des Dragons… Une femme, des dragons… Si on s’arrête au titre, on se demande pourquoi Ange aime tant les femmes et les dragons ?

    Quant aux femmes, la réponse est assez simple. Ange est le pseudonyme de deux auteurs – Anne (An) et Gérard (Ge). Gérard apprécie beaucoup les femmes, bien évidemment… et Anne sent bien les personnages féminins, et a plus de facilités à se mettre dans la peau des diverses facettes, positives et négatives, d’un personnage féminin. Bref, nous aimons tous les deux les femmes, chacun d’une manière très différente…

    Et les Dragons… Ah, les Dragons. Smaug, dans Bilbo le Hobbit, de Tolkien. Vous vous souvenez de cette scène glaçante et archétypale, où Bilbo s’introduit dans la caverne du Dragon… cette scène qui a fait rêver des générations de lecteurs de fantasy ? Comment ne pas aimer les dragons après ça !

    Et puis, le dragon, c’est la Bête des contes de fées. Non, mieux que ça : c’est la « Bête » tout court, c’est la « Bête » ennemie, celle à qui s’oppose le chevalier, c’est l’adversaire mythique de l’être humain, c’est la nature, son danger et sa féérie maléfique. C’est le « monstre » à l’état pur… le monstre de légende, mortel et séduisant. D’ailleurs, un dragon n’a pas besoin d’avoir la forme d’un dragon. Arachne, par exemple, l’araignée géante qu’affronte Frodo dans le Seigneur des Anneaux, à sa manière, est un « Dragon »… C’est un monstre mythique, c’est la « Bête ».

    Les dragons n’ont pas non plus la forme de dragons dans « Marie des Dragons ». En fait, ce ne sont pas vraiment des dragons… Ce sont des créatures d’Outre-Monde, à l’apparence lovecraftienne… Mais par leur essence même d’ennemis féériques, de monstres à combattre, ils sont « le Dragon », comme Marie est « Le Chevalier ».

    Je cite une phrase mise en évidence dans le dossier de presse: « Femme libre, belle et rebelle, Marie est une trentenaire indépendante qui s’assume et prend en main son destin ». Cela pourrait être le portrait de LA femme d’aujourd’hui, non ?

    Oh, bien des femmes d’aujourd’hui ne prennent pas en main leur destin… et bien des hommes aussi, d’ailleurs ! La différence est dans l’idéal qui est proposé aux femmes aujourd’hui. L’idéal qu’on leur fait miroiter, un peu cliché, un peu « cinéma », est justement celui de « la femme indépendante qui prend en main son destin ». Si elles le font, elles sont récompensées par une image positive d’elles-mêmes, reflétée par les médias, leur famille, leurs amis.

    Il y avait, avant le féminisme, des femmes libres, autonomes et fortes. Elles étaient même nombreuses, et d’autant plus admirables que le contexte ne les aidait pas. La grande différence est que l’image qu’on leur renvoyait (l’opinion publique, la famille, les amis) était négative – on les traitait de prostituées, d’insoumises, de « précieuses » (ce qui était une insulte), on leur disait qu’elles seraient plus heureuses, qu’elles rendraient les leurs plus heureux si elles reprenaient leur place. Il fallait donc qu’elles réussissent un tour de force, que n’ont pas à accomplir les femmes « autonomes » d’aujourd’hui : trouver en elles, et en elles uniquement, cette image positive…

    Dans « Marie des Dragons », nous avons fait attention à ne pas éluder le problème. Une jeune femme qui combat, qui a des amants, un meilleur ami, et qui s’habille comme un homme va avoir un retour très négatif de la société, et ce retour sera un des sujets de la série. Dans beaucoup de romans et de scénarios médiévaux dont les héroïnes sont des femmes guerrières, cet aspect est éludé – tout le monde parait trouver normal qu’une femme se batte aux côtés des hommes, et ne reste pas vierge.

    Dans Marie des Dragons, le monde est relativement réaliste… et vu sa conduite, Marie va s’attirer des ennuis.

    Soleil annonce la série comme un Thorgal au féminin. C’est un fameux défi tant ce héros est rentré dans la légende…

    C’est de la communication ! Mais la comparaison est un sacré défi, en effet. Gérard et moi avons grandi avec Thorgal, et nous sommes de grands admirateurs de Van Hamme et de Rosinski. Et non, ce n’est pas facile, pas facile du tout, d’essayer de nouer les fils d’une histoire complexe, avec des personnages forts, en faisant passer le tout avec une narration limpide et efficace comme celle de Van Hamme.

    Le succès de Thorgal repose en grande partie sur le fait de l’accompagner, de le voir vieillir, avoir des enfants… Aura-t-on un semblable parcours pour Marie ?

    Nous allons accompagner Marie sur plusieurs années – dix ans, peut-être. Et la question « Marie doit-elle se ranger ? Doit-elle mener une vie sereine et heureuse ? » fait partie de l’histoire que nous allons raconter. Elle va avoir cette possibilité, elle va avoir un choix à faire… Nous vous laissons le découvrir !

    Mais il y a de nombreux personnages de premier plan dans la série… William, Jean de Clermont, Armance, d’autres à découvrir… et eux aussi vont avoir une vie privée, une évolution personnelle. Il y a peut-être des mariages et des enfants en perspective…

    Dernière comparaison évoquée par le dossier de presse « Quand les Rois maudits rencontrent l’univers de Lost ! ». C’est une façon de surfer sur la vague des séries TV à grand succès ou d’annoncer tout simplement le mystère et le cadre médiéval de l’histoire ?

    Encore une fois, c’est de la communication… donc oui, ne soyons pas hypocrite, cette comparaison est une façon de surfer sur la vague des séries TV à grand succès. Cela dit, il n’était pas facile d’expliquer en quelques mots ce que nous voulions faire passer, c’est-à-dire que « Marie des Dragons » était une série historique avec une pointe de… de mystère, d’étrangeté, de… « quelque chose »… mais qu’il ne s’agissait pas d’une série de Fantasy, et surtout pas d’une série d’Heroic Fantasy. Et citer Lost permettait de faire comprendre tout de suite ce concept : une série réaliste, avec une pointe de… d’autre chose.

    Vous dites que vous aviez d’abord pensé à faire un récit purement historique. Pourquoi avoir changé d’avis ?

    Parce que nous avons du mal à nous en empêcher. Donnez-nous un stylo (ou un clavier) et il va en sortir des lutins, des anges, de la sorcellerie, des paradoxes temporels, le Mal Absolu… Ou bien nous allons prendre la réalité historique et la détourner légèrement, comme dans Belladone. Mais encore une fois… « Marie des Dragons » est un récit historique, ou presque. L’ambiance, la narration, le jeu des références, l’architecture… Nous utilisons l’étrange comme un outil dans un récit réaliste, pas comme le cœur de ce récit.

    Thierry Demarez semble être la pierre angulaire de ce projet. Admiratif de Rosinski, il réunit deux atouts précieux pour une série longue en tomes: il est méticuleux et rapide. A-t-il eu beaucoup d’exigences ou de craintes avant de se lancer dans un projet qui peut l’occuper de nombreuses années ?

    Non, au contraire, il était très demandeur. Thierry adore dessiner, c’est un artiste passionné, pour qui le reste du monde peut paraître secondaire. Sa crainte, est, au contraire, de ne pas avoir de projet ou d’album en cours, de ne pas avoir de quoi satisfaire son envie de créer des mondes … Son exigence avant de se lancer, c’était d’avoir toujours de quoi travailler.

    Nous avons l’impression à chaque envoi de lui donner des planches au scénario irréalisable : trop de cases, de décors, de personnages… ce n’est jamais le cas. Il prend un script très dense et en fait une planche dramatiquement magnifique…

    Nous avons une chance incroyable d’avoir rencontré Thierry, et à chaque planche, la découverte est un intense moment de bonheur. C’est lui qui rend cette série possible et nous ne le remercierons jamais assez !

    Il y a également eu un gros travail de réflexion sur les couleurs…

    Oui. Les couleurs devaient être réalistes et chatoyantes à la fois – qu’elles soient somptueuses et riches dans un monde moyenâgeux où les personnages passent leur temps à patauger dans la boue, il fallait qu’elles soient lumineuses alors qu’une partie importante de l’album se passe la nuit, il fallait qu’elles soient claires et qu’elles aident la narration alors que le combat final a lieu dans un tunnel… bref, que des paradoxes, Nicolas Bastide a dû s’arracher les cheveux ! Mais il a fait un travail incroyable. Grâce à lui, l’album a un camaïeu de vraies couleurs fortes, tranchées, avec des moments de subtilité quand il le faut… et il a réussi à rendre l’ambiance chaleureuse et dorée dont nous rêvions.

    Pour revenir sur l’héroïne, vous l’accompagnez de deux hommes au caractère plutôt opposés. William et Jean. Ici aussi, Jean, un homme, apparaît doux, chaste, droit. Tout l’opposé de l’image du héros viril qui a parsemé la bande dessinée depuis ses origines…

    Vous n’avez pas vu Jean dans le tome 2 ! Croyez-moi, il est tout-à-fait viril… voire violent quand il le faut ! C’est un guerrier, et comme les Templiers de l’époque, il a beau se consacrer à Dieu, il se baigne dans le sang et massacre à tout va quand il le faut. Ou quand il pense qu’il le faut, il y a une légère nuance. Mais Jean est en effet chaste et droit, et généreux – la plupart du temps.

    Et ce n’est pas facile à écrire. Le « héros » d’une histoire médiévale, le chevalier, car c’en est un… on attend de lui certaines caractéristiques, entre autres, on attend de lui du panache, de la classe. Or le panache se marie mal avec certaines qualités, dont justement la douceur et la chasteté. Et puis, un héros, on l’aime aussi pour ses défauts et ses doutes. Avec Jean de Clermont, il faut réussir à faire un héros profondément chrétien et convaincu de sa foi – sans en faire un rat de bénitier ou un moralisateur exaspérant – qui cherche à agir bien dans toutes les circonstances – encore une fois, sans en faire un moralisateur -, qui ne ment jamais – ça, par contre, c’est amusant à écrire -, et dont la chasteté l’empêche en théorie de tomber amoureux. En théorie seulement, heureusement. Bref, un personnage complexe, sur lequel nous avons beaucoup travaillé.

    William, lui, le mercenaire sans scrupules, coureur de jupons et farouchement loyal à Marie, avec son franc parler et son manque total de respect pour la vie humaine, est bien, bien plus facile à cerner…

    Les « dragons » sont un élément plutôt lovecraftien, plutôt horrifique dans cette histoire. Ce côté monstrueux est montré et non pas suggéré… N’est-ce pas un élément qui pourrait écraser le reste? N’y a-t-il pas un côté dangereux du point de vue narratif ?

    Si ce n’est pas dangereux, ce n’est pas amusant ! Et puis, les créatures de Lovecraft sont tout sauf suggérées dans le Mythe de Cthulhu. A tel point que les asiles sont remplis par ceux qui les ont vu. Un des rôles de Marie dans la série est justement d’éviter que les gens normaux voient les dragons. Mais ce n’est qu’une part de son personnage…

    Enfin, et pour terminer, pourquoi avoir choisi le prénom de Marie ?

    D’abord, il fallait un prénom simple et familier, très français, qui ne fasse pas héroic-fantasy, comme tous les prénoms un peu alambiqués avec des « a » et des trémas qui sont foison pour les héroïnes de ce genre… des noms dont nous usons et nous abusons pour « La Geste des Chevaliers Dragons ». « Marie » fait réaliste, fait terrien, fait « femme comme les autres »… mais avec une référence au christianisme et à la spiritualité qui permet de lui donner des facettes de potentiel et de mystère. Et puis, Marie a été la clé du changement, la mère du messie. Notre « Marie » à nous est la clé, elle aussi, de quelque chose d’essentiel. Troisième élément : Marie a, bien entendu, une aura de pureté et de virginité. Notre Marie n’est plus vierge depuis longtemps, et – comme nous le disions plus haut – c’est un élément important dans un monde où la virginité est précieuse chez une femme. Mais sa pureté est ailleurs, dans son caractère, dans sa volonté, dans son farouche amour de l’existence… Et Jean de Clermont va devoir réussir à le comprendre, cela fera partie de son évolution psychologique…

    Propos recueillis par le Peuple féerique en novembre 2009

    Interview réalisée pour www.khimairaworld.com

  • Fae: rencontre avec une créatrice de vêtements féeriques

    L’imaginaire féerique se decline et se vit d’une multitude de façons. Cette fois, notre regard s’est porté sur une jeune styliste aux creations médiévales-fantastiques de toute beauté. Et puisque son enterprise naissante porte le doux nom de Fae, il nous a paru important de lui poser quelques questions et, ainsi, de vous la presenter… 

     
    D’où t’es venue cette passion alliant un univers médiéval-fantastique, féerique et la création de vêtements ?
    J’ai toujours été attirée par l’univers médiéval- fantastique. Petite je lisais déjà beaucoup de contes et de mythologies, j’ai découvert le Seigneur des Anneaux très tôt et l’oeuvre de Tolkien a été une vraie révélation. Les jeux de rôle m’ont aussi attirée très tôt : mon grand frère en faisait à l’époque, ainsi que des Grandeur Nature (ou « GN »), et je trouvais ça fascinant. J’en ai fait dès que j’ai pu et c’est grâce aux GN que j’ai fait mes premiers costumes, voilà ce qui m’en a donné le goût, même si au départ ça ne ressemblait pas à grand-chose !

     Quel genre de vêtements aimes-tu le plus créer ?
    Aaah, les robes médiévales ! Enfin, elles ne sont pas véritablement médiévales, historiquement parlant c’est plus un mélange, mais je parle du genre de robes que l’on peut voir par exemple dans le Seigneur des Anneaux, le film. Ce sont des merveilles ! Avec une foule de détails, de finitions, que l’on ne soupçonne même pas à l’écran ! Je suis loin d’avoir le niveau mais je m’y emploie, et même si cela demande beaucoup de travail j’adore ça ! Mon seul regret est qu’il n’y ait pas assez de circonstances pour les porter.

    T’inspires-tu de légendes particulières ? Ou de musique ?
    J’aime particulièrement les mythes et légendes celtes et scandinaves, mais ils constituent une toile de fond, un contexte, sans m’inspirer de façon directe
    bien que leur influence soit indéniable. Je suis plus marquée par la littérature fantastique avec des auteurs comme Michael Moorcock (Le cycle
    d’Elric), George R .R. Martin (Le cycle du Trône de Fer), ou bien sûr et principalement, Tolkien. Son oeuvre est pour moi une source inépuisable d’inspiration.
    Pour ce qui est de la musique, bien sûr ! Je ne peux coudre sans musique et elle stimule l’imagination. Pour citer quelques artistes, j’aime particulièrement Omnia, Narsilion, Summoning et les pyrénéens de Stille Volk, et on retrouve d’ailleurs leur musique dans mes défilés, normal !
    Sinon je puise aussi beaucoup dans les oeuvres d’illustrateurs tels qu’Alan Lee, John Howe, Brian Froud, ou Brom.

    Tu fais beaucoup de défilés? Quelles sont les principales reactions des gens?
    Pour le moment je n’ai que deux défilés à mon actif vu que Faë n’est lancée que depuis mars 2009, mais j’aimerais en faire environ deux par an. J’ai été très agréablement surprise des réactions des gens venus au défilé de mai, duquel j’attendais beaucoup. Je l’avais organisé pour lancer Faë et essayer de
    présenter un éventail diversifié et représentatif de mes différentes créations, donc je me demandais quel allait être le retour. Et bien c’était très positif !
    J’ai été très félicitée, les gens semblaient emballés et contents, quell soulagement ! Bon après je ne me fais pas d’illusions, on ne peut pas non plus
    plaire à tout le monde et de toute façon je n’y compte pas, mais ça reste très encourageant. Et sinon j’ai pu remarquer que les robes médiévales font toujours leur petit effet sur la gent féminine, ce doit être le syndrome princesse, on a beau grandir il faut croire qu’on n’y échappe pas toujours complètement. Héhé !

     


    As-tu l’impression qu’il y a un mouvement qui s’est créé autour de l’imaginaire féerique ? Avec ses artisans, ses musiciens, ses conteurs, etc.
    Comment l’expliques-tu ?

    Oui, il y a un réel mouvement avec de nombreuses ramifications, certaines tendent plus vers le médiéval par exemple et d’autres vers le féérique en effet, mais tout est souvent lié. Je dois toutefois avouer que la mièvrerie autour des fees a tendance à m’agacer, enfin cela dépend des approches bien sûr.
    Comment l’expliquer ? Nous avons tous besoin de rêves, après nous l’assumons plus ou moins. Mais dans ce monde, comment ne pas avoir besoin d’évasion ?
    L’air de nos villes sent mauvais, nous marchons sur du béton et le ciel est caché par de grands bâtiments qui se ressemblent tous. Ce regain d’intérêt pour l’imaginaire féerique est comme un retour aux sources, c’est une bouffée d’air pur ici bas pour les déracinés que nous sommes. Enfin, c’est un point de vue personnel.

    Quelle est ta créature féerique préférée et pourquoi ?
    Le dragon ! Parce qu’il est emblématique de l’imaginaire fantastique et a une symbolique très forte. Créature féroce et destructrice,  liée à la terre et au feu, gardien primitif et ancien, c’est un symbole de puissance, notamment dans les mythes scandinaves. Cette puissance a d’ailleurs beaucoup été sous-estimée comme dans l’univers de Donjons&Dragons où les héros tuent des dragons à tout va, mais enfin, un dragon, ce n’est pas rien ! Moi je parle de Fafnir, d’Ancalagon le Noir, de Glaurung, et Smaug le Doré ! Le dragon, c’est le gardien de notre univers merveilleux.

     

     Ton actualité, tes projets?
    Et bien tout d’abord l’ouverture prochaine du site internet, pour le mois de novembre j’espère ! Il fera vente en ligne vu que je ne souhaite pas ouvrir de
    boutique (du moins pour le moment) et je pourrai aussi prendre des commandes. J’aimerais refaire un défilé bientôt, mais ce ne sera pas avant le début du printemps, je pense. Et sinon il est prévu que je fasse des salons de créateurs et surtout des fêtes médiévales, mais je dois d’abord passer mon permis (et oui…)! En attendant le site web (www.fae-creations.fr) vous pouvez toujours visiter ma page myspace :  www.myspace.com/fae_creations. Pour me contacter :
    juliane@fae-creations.fr. Au plaisir de croiser votre route!

    Propos recueillis par le Peuple féerique en octobre 2009.

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