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  • Fées et lutins de France – Korrigans

    Fées et lutins de France – Korrigans

    Korrigan est le nom qui désigne le lutin breton (de korr, « nain » avec le diminutif ig « petit »). À l’origine, le mot « korrigan » est un féminin et désignait donc… des fées bien avant d’être récupéré pour désigner l’ensemble des lutins de Bretagne ! Les plus vieux textes parlent de petites créatures noiraudes et laides, ou de belles jeunes femmes, grandes, fines et à la chevelure blonde. Eugène Sue, dans ses Mystères du peuple, les décrit hautes de deux pieds, le corps rose et transparent, se nourrissant de la « rosée des nuits dans la coquille azurée des œufs du roitelet » et du « suc des fleurs de nuit, servies sur des feuilles d’herbe d’or ». L’herbe d’or est réputée endormir lorsqu’on marche dessus, et faire comprendre le langage des oiseaux.

    Avec les années et les colportages, le mot Korrigan s’est généralisé à l’ensemble des lutins bretons qui par ailleurs portent de biens nombreux noms comme Kornigans, Kornikans, Kornigans, Kouricans, Korandons, Kornandons, Torrigans, Tornigans, Courils, Korils, Korrik, Korrikets, Poulpiquets, Poulpicans, Polpegans, Bouléguéans, Ozigans, Nozégans…

    Les Korrigans vivent sous les dolmens qu’on nomme Ty-Corriked « Maison des nains » ou encore Loch-Corriganed « Loge des naines ». Mentionnons par exemple le Dolmen de Kermadouë ou encore la Coat Menez Guen à Melgven. Ces lutins, bons-vivants et joyeux farceurs ne sortent que la nuit pour entamer leurs rondes dansantes. Si un homme croise leur chemin, il est aussitôt entraîné dans leurs danses jusqu’à l’épuisement total. Nombre de ces créatures possèdent des facultés extraordinaires comme celle de se rendre invisibles ou de se métamorphoser en animal, chat, chien, porc, veau ou cheval. Certains ne les connaissent que sous cette dernière forme, et jureraient que les autres apparences ne sont qu’inventions.

    Si la plupart des Korrigans ont bonne réputation, se révélant des aides appréciables dans les fermes et maisons, gardant les troupeaux, assurant de bonnes récoltes, il ne faut pas oublier leur côté malicieux. Pour s’en prémunir, des trucs existent. Ils craignent par exemple le bâton à petite fourche qui sert à nettoyer les charrues et si un homme est entraîné malgré lui dans l’une de leurs infernales danses, il lui suffit de planter un bâton au début du premier tour et de le récupérer lorsque celui-ci se termine pour s’en sortir indemne. Ou encore de sauter dans ses sabots en enfonçant les deux pieds dans un seul et même mouvement.

     

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    Retrouvez toutes les créatures féeriques de cette région et des régions de toute la France dans ce livre paru aux éditions Terre de Brume. Plus de 600 fées, lutins et autres membres du Petit Peuple français vous y attendent ! Richard Ely, Amélie Tsaag Valren, Bestiaire fantastique & créatures féeriques de France, Terre de Brume, 2013
  • Petit tour du côté sombre de la Féerie avec Pascal Moguérou

    Petit tour du côté sombre de la Féerie avec Pascal Moguérou

    Pascal Moguérou nous avait habitué à ses korrigans farceurs et ses jolies fées rondelettes aux moues coquines, Petit Peuple joyeux dansant au milieu d’une nature tantôt printanière laissant exploser les couleurs de la vie, tantôt automnale portant aux travers ses teintes de feu tous les rêves de l’Ailleurs. Il nous revient cette fois aux éditions du Lombard avec un somptueux « Sombres Féeries » et son encre noire, trempée dans nos cauchemars, l’autre part de nos rêves. Car sans lumière, pas d’ombres, sans ombres, pas d’espoir. En cela, cet album porte un message bien clair, presque salvateur pour tous ceux qui apprécient la féerie : le Petit Monde n’est pas que poussière de fée et paillettes, il est aussi fait de choses rampantes, de peurs ancestrales. Il n’est pas différent du nôtre. Il est là. Il est notre monde. Avec « Sombres Féeries », Pascal Moguérou dévoile une nouveau côté de son âme, une vieille âme trempée à l’encre du folklore et des croyances féeriques. Rencontre avec cet auteur vrai.

     

    D’où t’es venue l’idée ou l’envie de travailler la part sombre de la féerie ?

    Oh cette envie a toujours été là! Disons que je l’ai mise en sommeil le temps pour ma plume et mes crayons d’aller explorer des royaumes plus paisibles ! C’est vrai que l’humour, chez moi, n’est jamais bien loin, mais les mots de sang et de noirceur ont toujours été présents, flottant à la lisière de ce que je m’autorisais dans mes premiers livres… Pourtant, ils sont toujours venus plus facilement que les images, dès lors qu’il faille dépeindre l’horreur, ou la part d’ombre qui sommeille en chacun de nous, fut-il humain ou enfant de Féerie!… Le monde de Féerie est comme une pièce avec ses deux faces, l’une flottant plus facilement dans la lumière, l’autre préférant s’enfoncer dans des recoins envahis d’ombres!…

    Tu vas puiser dans le légendaire breton qu’on te connaît bien, mais la lecture révèle bien d’autres sources et notamment une certaine  présence de l’Amérique du Nord. Ce sont des pays qui te font rêver ?  Ou sont-ils plus appropriés au propos que d’autres ?

    Ma terre de granit est inspirante, oui, je ne me lasse pas d’arpenter ses landes désolées, ses sombres forêts profondes ou ses grèves venteuses. C’est à chaque fois comme un nouveau chemin qui s’ouvre à l’imaginaire ! Mais le nouveau monde l’est tout autant, oui, très certainement… J’ai toujours eu envie d’y traîner mes guêtres ! Sans doute de vieux souvenirs de lectures de Twain, de Fenimore Cooper ou de London!? J’idéalise sûrement, mais j’aime penser au Canada et à l’Amérique du Nord comme à des terres où la Féerie serait présente et bien vivante dans des recoins encore inexplorés de ces vastes territoires ! L’Irlande a vu partir des milliers de ses enfants vers l’Amérique, chassés par la famine… La colonisation qui poussa les pionniers vers l’Ouest s’est faite dans le sang de ceux qui habitaient déjà là… Il ne m’en fallait pas plus pour imaginer de noirs démons, venus avec les migrants dans les cales des premiers bateaux ou d’autres, déjà là, qu’on oblige à s’éveiller, prêts à libérer toute la rage qu’ils ont en eux !

    Dickens, Lovecraft, Twain… On ressent cette envie de partager avec  le lecteur des univers qui t’ont nourri, de leur rendre hommage d’une  certaine façon ?

    Je me souviens, il y a longtemps, quand je partais en balade, en forêt ou sur les grèves en compagnie de mon fidèle Octave, je rêvais de pouvoir à mon tour, illustrer toutes ces couvertures de livres, d’auteurs qui me fascinaient et m’emportaient… d’apporter ma vision graphique de ce que leurs mots faisaient jaillir en moi… À l’époque, ça n’était qu’un rêve, que je m’autorisais dans le silence revigorant de ces interminables promenades, tant cela me paraissait impossible… Il faut dire que très tôt, tout gosse, j’ai été pris d’une véritable boulimie de livres, de toutes sortes de livres, romans ou bd, peu m’importait, du moment que je m’évade par la lecture… Dans mon “Sketchbook” je rendais hommage à tous ces dessinateurs de bd qui ont construit mon imaginaire et éduqué mon œil à tel ou tel genre graphique… D’une manière un peu différente, mais tout aussi assumée, je voulais témoigner de cette autre voie vers l’imaginaire qu’est la littérature romanesque, fantastique ou d’horreur… J’ai pris, par contre, des libertés avec ces auteurs, en les plantant dans des situations plus ou moins “particulières”, mais en m’appuyant tout de même sur leur vie… J’avais également travaillé sur Poe, Howard, London et bien d’autres, malheureusement, l’impitoyable dictature du foliotage est passée par là et, à contrecœur, j’ai dû “trancher”…

    Au fond, c’est un livre très personnel que tu nous offres… C’est le  sentiment que j’ai eu tout au long des pages et notamment avec le  poème, « Les oiseaux de solitude ». J’ai l’impression que tu essayais  d’ouvrir une porte, de te détacher de l’étiquette associée à ton  univers. Un peu moins de Bretagne, de fées coquines et de korrigans  farceurs dans celui-ci. L’envie de te dévoiler, de partager ton  univers entier ou d’amorcer un changement de direction pour tes  créations ?

    Mmmmm, tu soulèves un point intéressant!… Le temps qui passe et un projet chassant l’autre, tu t’installes, presque malgré toi, dans un rôle, une étiquette, un formatage, peu importe le nom qu’on peut lui trouver; mais qui empêche la pleine expression de ce que tu es au fond de toi… Une multitude de possibles! C’est loin d’être une malédiction, bien sûr, et tu continues à œuvrer avec enthousiasme, mais l’âge aidant, tu te dis qu’il est peut-être temps d’aller voir «ailleurs» … cet ailleurs qui n’a jamais été bien loin, en plus, et de lui consacrer du temps pour qu’il s’éveille enfin!

    Avant tout, le lecteur ne voit que ce que tu leur offres, et c’est bien normal, en faisant abstraction de ce qui se cache, derrière les mots et les images, un humain, avec ses choix, son parcours de vie, ses failles et ses faiblesses. Ce que je veux dire, c’est que le travail de création est intimement lié à la manière dont tu le nourris… et j’ai énormément nourri ma création, tout au long de ces années !… Au détriment souvent des envies ou des besoins de l’humain resté derrière… Des choses bien plus sombres sommeillent en moi, nourries de mon passé, et il faudra bien qu’elles émergent, au travers de mots ou d’images, un de ces jours ! Ton sentiment est juste : les « Oiseaux de Solitude » a été écrit lors d’une de ces nuits où tu réalises que le chaos est là, qui chemine à tes côtés… C’est ainsi.

    Si l’on s’attache aux récits, ils sont vraiment noirs. Les choses  ne tournent pas toujours au mieux pour les protagonistes. Tu te  rapproches ici de l’écriture de nouvelles fantastiques où les héros  n’ont que le choix de mourir ou de devenir fous. Par contre, j’ai  trouvé que les illustrations adoucissent le propos. On y retrouve de  l’humour, de la gouaille, un certain côté jeunesse aussi…

    C’est assez délectable, je l’avoue, de planter de telles histoires ; de laisser s’exprimer mon côté « noir » , et d’entraîner le héros vers un destin tragique où il va se perdre, fatalement! Il y a toujours une forme de morale qui transcende au travers des mots… l’ignorance, la cupidité, la bêtise, la vengeance ou la colère sont de bons moteurs pour faire fonctionner ce genre d’histoires ! Je le disais plus haut, ou plus bas, les mots me viennent, simples et faciles, qu’il s’agisse de décrire la beauté ou de dépeindre l’horreur. Mais en ce qui concerne le dessin, l’exercice m’est peut-être plus délicat !? Je me souviens des premiers temps où j’entendais des mères s’effrayer du propos du livre ou des dessins ; « c’est pas un livre pour enfants ! », ou « ça fait trop peur ! » comme si de bêtifier les gosses pouvaient les préserver de quoi que ce soit ! Si les contes de fées étaient de jolies histoires innocentes, ça se saurait, depuis le temps ! Ou alors ces mamans n’ont pas lu les mêmes choses que moi !? Plus sérieusement, j’ai peut-être, en effet, plus de mal à me départir de l’humour quand j’ai un crayon en mains, de là à dire que c’est de la retenue ou une auto-censure, je ne saurais dire!?…

    De toutes les histoires, laquelle t’a empêchée de dormir ?

    Le cerveau est une bien étrange machine, qui continue même à fonctionner quand le corps se repose !… Combien de fois, je me suis réveillé avec, à la lisière des rêves, ce souvenir confus d’une image, d’une idée encore vivace qui semblait si prometteuse et qui évidemment s’est perdue au réveil! Je ne sais pas s’il y a une histoire plus qu’une autre qui m’a posé problème ? En fait, quand je passe en « mode auteur » je laisse de côté l’aspect dessinateur, pour de bon, et cela dure plusieurs mois, le temps d’écrire… La transition entre les deux états n’est pas une sinécure pour moi, tant les deux genres s’entremêlent ! Une image appelle les mots et l’inverse est aussi vrai, quand j’écris, je me force à empêcher les mots de prendre forme ! L’exercice est de savoir ce qui restera en prose et ce qui doit devenir une illustration ! Mais si je devais me souvenir d’une histoire, je pense que celle du Wendigo m’a donné du fil à retordre !

    Combien a duré la création de cet ouvrage ?

    Bon an mal an, un livre comme celui-ci me prend deux ans. Celui-ci m’en a pris trois, mais pour d’autres raisons… Il y a bien sûr le travail de réflexion en amont, qui a déjà commencé, et qui fait son bonhomme de chemin, tandis qu’on travaille encore sur les finitions du précédent ! Il y a également, et c’est très bien car ça permet de s’évader un tant soit peu, tous les travaux qui viennent se greffer entre-temps, couvertures de livres, commandes privées et autres dessins aussi divers que variés ! Mais pour revenir au livre, c’est un long, très long parcours… la solitude du coureur de fond, on va dire. En fait, étant à la fois auteur et illustrateur sur ce genre d’ouvrage, on pourrait croire la tâche plus facile ; mais il n’en est rien, bien au contraire ! Car l’un comme l’autre veut la part royale, et aucun des deux n’est prêt à concéder le moindre compromis ! Je plaisante, mais à peine ! Je suis, en plus, d’un caractère tenace dans le travail, et d’être breton, de surcroît, n’arrange pas les choses ! Quand d’évidence, il faut faire des choix face aux contraintes du livre, c’est un vrai crève-cœur ! Ah oui, il faut dire que je réalise aussi la pré-maquette du livre, en jouant avec les différents éléments, dessins et textes, pour harmoniser, page après page, l’ensemble du livre, dans ce qu’on appelle un « chemin de fer »… Tout est question d’équilibre, d’harmonie. J’installe, je place, je jongle avec les blocs-texte, avec les images, que je vais agrandir ou réduire à l’envie… Mais quand arrive enfin l’exercice final, que je réalise avec Michel, mon ami, qui finalise mes livres depuis longtemps maintenant ; il arrive fatalement que son œil affûté pointe le problème et m’oblige à revoir les choses… parce que c’est comme ça et qu’il n’y a pas d’autres possibilités ; que j’ai mal calculé et qu’il faut sacrifier du texte ou une image ! Bref, l’horreur ! L’impression, justifiée en plus, d’avoir travaillé pour rien ! L’exercice de la nouvelle, ou de l’historiette comme je préfère les appeler, est infiniment délicat. Les petites histoires que je raconte se trouvent souvent étriquées, faute de place suffisante… S’il faut, en plus, sabrer dans le texte existant, pour faire de la place, c’est juste épuisant!… Je ne parle même pas d’une image à mettre à la trappe ! Bref, ce beau bébé que je laisse aller, à présent, faire sa vie, m’a fait perdre jusqu’à mon dernier cheveu !!

    La couverture est vraiment superbe. Une vraie réussite. S’est-elle  imposée comme une évidence ou a-t-il fallu beaucoup y travailler ?

    La couverture d’un livre est souvent quelque chose de délicat, où il faut en dire assez, mais sans trop révéler… L’idée chemine au début, sans trop savoir où elle va. Parfois, souvent, on débouche sur des impasses et il faut abandonner et faire demi-tour. Celle qu’on trouvait brillante s’avère médiocre au bout du compte. Et puis, au détour d’une illustration juste achevée, l’évidence saute aux yeux ! Avec l’assise solide d’une bonne illustration, il suffit juste, je dirais, de broder autour ; travailler le lettrage du titre, ajouter des entrelacs de ronces qui vont appuyer celui-ci et parachever le tout d’une touche précieuse: le doré à chaud, qui, il faut dire, magnifie le côté sombre de l’ensemble! Une drôle d’alchimie que d’imaginer une couverture de livre… mais celle-ci fonctionne bien, je trouve !…  Un grand merci, évidemment, à l’éditeur qui m’a permis ce genre de fantaisie !…

    SOMBRES FÉERIES, de Pascal Moguérou, aux éditions du Lombard, disponible dans toutes les librairies !

     

     

     

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  • Exclusivité : les premières planches de la série Brocéliande

    Exclusivité : les premières planches de la série Brocéliande

    En avant-première mondiale, trois planches extraites du premier tome de la nouvelle série féerique à paraître début juin aux éditions Soleil. Une série en sept tomes pour sept histoires individuelles se passant autour de sept lieux légendaires de la forêt de Brocéliande. De quoi faire le plein de magie dans les prochains mois pour tous les bédéphiles avertis ! Le premier tome nous conte l’histoire tumultueuse et amoureuse entre le beau Merlin et la jeune Viviane dont les roucoulements seront perturbés par quelques korrigans assoiffés de célébrité et quelques mauvais bougres, bien décidés à abattre ce mystérieux cerf blanc apparu au coeur de la forêt enchantée.

    © Editions Soleil, 2017 – Peru, Benoit
    © Editions Soleil, 2017 – Peru, Benoit
    © Editions Soleil, 2017 – Peru, Benoit
  • Fées, korrigans, sirènes & autres créatures fantastiques de Bretagne

    Fées, korrigans, sirènes & autres créatures fantastiques de Bretagne

    Fées, korrigans, sirènes & autres créatures fantastiques de Bretagne

    Philippe Le Stum

    Editions Ouest France

    Les éditions Ouest France nous offre l’occasion de redécouvrir ce livre signé Philippe Le Stum dont une édition précédente avait déjà séduit quelques korrigans en 2001. Voici un ouvrage très richement illustré qui vous propose de faire le tour de la Bretagne enchantée. Des fées aux lutins en passant par les sirènes, Morgans, Viviane, Merlin et les géants, l’auteur fait preuve d’une érudition certaine et d’une franche passion pour tout ce Petit Peuple breton. Nous avons adoré l’iconographie minutieusement préparée qui nous fait voyager des tableaux de maîtres aux reproductions les plus populaires sur assiettes et plaques de maison. Il en aura fallu du temps pour rassembler patiemment ces documents, parcourir les écrits des folkloristes, les rues des villages et les plaines des campagnes sans omettre les archives des musées afin de rassembler tout cela en ce très beau livre. Bonne idée également de ponctuer le tout de photographies de lieux légendaires permettant ainsi aux pisteurs elfiques de se lancer sur quelques sujets de visites en terres bretonnes. Un travail de qualité fabuleusement mis en exergue par une mise en page très réussie.

  • Une nouvelle série BD autour du Petit Peuple de Brocéliande !

    Une nouvelle série BD autour du Petit Peuple de Brocéliande !

    Les éditions Soleil publieront en juin prochain le premier tome de Brocéliande – Forêt du Petit Peuple. Sept tomes pour sept histoires complètes qui vous emmèneront rêver dans cette grande forêt de Bretagne remplie de korrigans, fées et autres farfadets.

    La magnifique couverture de ce premier tome qui nous entraîne aux abords de la fontaine de Barenton

    Le premier tome sera signé Olivier Peru au scénario et Bertrand Benoit au dessin. Nous avons pu en parcourir une épreuve et cela nous a bien enchanté ! Un accent fantasy aux créatures féeriques pour une histoire rythmée, ponctuée de bagarres et suivant la romance entre Merlin et la très belle Viviane. Quand un Teuz, lutin breton est forcé de donner un beau rôle dans une histoire à quelques maladroits korrigans… Chronique à suivre sur Peuple Féerique en juin prochain, à parution de ce premier album !

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